C'était le mois d'août, le mois des vacances pour les filles, mais aussi pour les parents, Marc et Gérard. La demeure disposait d'une magnifique piscine, pas immense, mais très jolie. Les filles adoraient s'y baigner, que ce soit Sylvie, Valérie ou Coralie. Le bikini leur allait bien et les hommes restés à siroter sur la terrasse dans leur chaise longue, n'en perdaient pas une miette. C'était quand même un spectacle agréable à regarder. Les trois femmes n'étaient pas forcément les plus belles du monde, mais n'étaient certes pas les plus moches non plus. C'est précisément ce que se disait Paul en regardant Sylvie jouer avec ses filles dans la piscine. Il était comblé. Il avait la famille qu'il souhaitait. Il avait une merveilleuse femme et deux merveilleuses filles. Il en était fier. Il avait choisi de les éduquer d'une certaine manière, avec leur accord, bien entendu, et ça avait porté ses fruits.
Au bout d'un long moment, les filles sortirent de l'eau et s'allongèrent sur la terrasse pour bronzer un peu. Elles en profitèrent pour discuter entre elles de tout et de rien. Puis, au hasard de la discussion, elles en vinrent à discuter de leur éducation depuis qu'elles sont ici. C'est Coralie qui ouvrit le bal :
"Maman, comment en es-tu arrivée à accepter d'être tenue comme ça, par la fessée ?
- C'est une bonne question. Quand j'ai rencontré ton père, je l'ai aimé tout de suite, mais j'avais un caractère insupportable. Paul en a eu marre, alors j'ai fini par me retrouver sur ses genoux. C'était désagréable, mais pas insupportable. Avec le temps, je ne craignais plus ses punitions et je recommençais à être exécrable, c'était un peu avant la mort de mes propres parents. Je gérais déjà le patrimoine familial, mais hors de question de continuer avec ce comportement. Il s'en aperçut et il fut plus...démonstratif . Aujourd'hui encore, je l'en remercie, car ça m'a fait grandir. Maintenant, même s'il m'arrive d'en prendre une de temps en temps, cela reste rare, mais je prends garde à ce que je fais, car lorsque cela tombe, il ne m'épargne pas. Il est bien plus sévère avec moi qu'avec vous. Il a tendance à tout vous passer.
- Eh ben, fit Valérie. Et toi Coralie ? Pourquoi avoir accepté cette méthode ?
- Au départ, je n'en savais rien. Ce n'est qu'une fois arrivée ici que papa et maman m'ont informée de la méthode qu'ils utiliseraient avec moi. J'ai réfléchi, mais est-ce qu'on refuse le gite et le couvert parce qu'on reçoit quelques fessées lorsqu'on n'est pas sage ? Cela me semblait un bon deal.
- Et ta dignité ? rétorqua Valérie.
- Quand tu te trouves dans la situation où j'étais à l'époque, tu n'as plus aucune dignité ! La première fessée que j'ai reçue m'a fait prendre conscience qu'il fallait que je change de comportement, et crois-moi, je m'en souviens encore, dit-elle en se frottant machinalement les fesses.
- Et toi, Valérie ? demanda Sylvie.
- Oh... euh... J'étais curieuse au départ, la fessée était un fantasme. Mais si les premières ne furent pas si désagréables, certaines furent plus... difficiles à supporter, et j'ai compris qu'il fallait que je donne le meilleur de moi-même.
- Donc tu aimes la fessée ? interrogea sa sœur.
- Euuuh dans une certaine mesure. Mais crois-moi, celles de maman, de papa ou de Marc, je les crains !
- Et moi, je n'en t'ai jamais mise !
- Non, c'est vrai, mais tu n'as jamais eu de raison de m'en coller une.
- C'est pas faux."
La discussion continua un moment et les filles finirent par rentrer dans la maison. Mais il était venu une idée à Coralie. Il fallait qu'elle en parle à sa sœur. Elle attendit le soir un peu avant leur couvre feu (élargi en période de vacances). Elle alla voir Valérie dans sa chambre.
"Coucou, je peux entrer ?
- Oui, vas-y, je t'en prie.
- Tu as dit cet après-midi que tu aimais la fessée.
- Eh minute, pas celles que je reçois ici, elles sont vraiment désagréables !
- Oui, je sais. Mais, si tu en recevais une, disons... pour l'amusement...
- A quoi tu penses, Coralie ?
- Ben, c'est vrai que je n'ai jamais eu l'occasion de t'en mettre une.
- Et tu aimerais bien le faire, hein ?
- Ouais, pas une sévère, juste une que tu pourrais sentir suffisamment pour provoquer certaines...sensations...
- Ok, mais à une condition non négociable : tu demandes l'accord aux parents et à Marc, sans rien leur cacher.
- T'es pas malade ? Jamais ils ne vont accepter !
- Dis que nous souhaitons jouer, mais pas sans leur permission."
Coralie réfléchit et descendit voir Paul et Sylvie, leur exposa l'idée. Ceux-ci éclatèrent de rire :
"Amusez-vous tant que vous voulez, mais ne vous blessez pas, c'est clair ? dit Paul.
- Merciiiiii ! Et c'est promis, on veut juste jouer."
Maintenant, il fallait convaincre Marc. Cela pourrait être plus compliqué. Elle prit son courage à deux mains et frappa à la porte de son ancien précepteur. Elle entra et exposa sa requête. Marc réfléchit un moment. Elle précisa que Paul et Sylvie étaient d'accord. Le professeur tournait en rond. La fessée, pour lui, n'était pas un jeu, mais une punition Alors, puisqu'elles voulaient jouer, soit, mais pas sans lui, Valérie allait être sa femme, à plus ou moins longue échéance, après tout.
"Bien, écoute, Coralie, tu veux donner une fessée à Valérie, n'est-ce pas et celle-ci est d'accord sous réserve que je le sois, n'est ce pas ? C'est bien ça ?
- Oui, Marc.
- Je vais appeler Gérard et on va monter tous ensemble dans la chambre de Valérie."
Il appela effectivement Gérard et ils montèrent pour retrouver la sœur de Coralie. Marc prit la parole en s'adressant à Valérie : "Qui a eu l'idée de cette petite mise en scène ?
- C'est moi, répondit Coralie.
- Et toi, Valérie, tu as accepté ?
- Oui, tu sais très bien que j'aime ça si la fessée n'est pas trop intense. On en a déjà parlé, mais toi, quand tu me fesses, ça se transforme toujours en punition, voire en correction ! Alors oui, pour une fois, j'ai accepté.
- Je vois...répondit Marc. Gérard, tu en penses quoi ?
- Bah, si elle veulent s'amuser toutes les deux, je ne sais pas bien ce que je fais là. Je ne suis pas contre l'idée.
- Bien, continua Marc. On va vous laisser jouer, les filles, mais Valérie, nous aurons une discussion sérieuse à propos de tout ça.
- Mes fesses risquent encore de brûler, je suppose ! Répondit Valérie.
- Non, pas cette fois-ci ! Mais nous devons en parler.
- Avec grand plaisir, mon chéri."
Sur ce, les deux hommes sortirent de la chambre et se retirèrent dans le salon pour boire un verre. Pendant ce temps là, les deux filles s'assirent un moment sur le lit : "On fait quoi ? demanda Coralie.
- Tu voulais m'en mettre une, n'est-ce pas ? dit Valérie en se penchant d'elle-même sur les genoux de sa sœur.
- D'accord. Tu sais, c'est la première fois que je donne une fessée à quelqu'un.
- Alors, disons que tu vas m'en coller une car je t'ai piqué ton rouge à lèvre préféré. Cela ne justifie pas une grosse fessée, mais je dois la sentir.
- D'accord !"
Valérie portait une jupe, un collant et une culotte. Coralie releva doucement la jupe de la jeune femme. Elle contempla ses fesses bien rondes, fermes, décidément très enviables. Marc avait de la chance. Elle commença à claquer le postérieur de Valérie doucement, lentement, comme par peur de lui faire mal.
"C'est pas une fessée, ça, se plaignit Valérie. Ce sont des caresses !"
Coralie augmenta l'intensité de ses claques. Et cela portait ses fruits, Valérie commençait à sentir une légère chaleur sur ses fesses, mais la chaleur était bien plus grande et agréable dans son bas ventre. Son entrejambe commençait à être moite. Quant à Coralie, elle ne détestait pas être du bon côté de la main, pour une fois, elle décida de taper plus fort. "Comment ça va ? questionna la fesseuse.
- Hmmm ! C'est encore un peu léger, mais c'est mieux." Concéda Valérie. Il n'en fallut pas plus pour que Coralie tire le collant de sa sœur jusqu'aux genoux. Le fond de sa culotte était déjà tachée pas ses effluves intimes. Coralie n'était pas en reste en terme d'excitation. Ce jeu était décidément très intéressant. Elle recommença à fesser Valérie plus fermement en prenant soin de guetter ses réactions. Et à la vue de son entrejambe, c'était exactement ce que Valérie désirait. Ses petits gémissements lors de claques un peu plus appuyées trahissaient aussi les émois de la jeune femme. Au bout de deux minutes de ce régime et une culotte bien mouillée, elle passa ses doigts sous l'élastique de ladite culotte et la baissa doucement. Elle eut alors une vue sur le sexe de sa sœur ruisselant de désir. Elle comprenait ce que pouvait ressentir Valérie maintenant. Elle vivrait la fessée autrement dorénavant. Elle reprit la fessée sur la peau nue de Valérie, qui n'en demandait pas moins. Ses gémissements se transformaient en râles de plaisir, elle était tout près de la sensation ultime. Coralie s'en aperçut et accentua l'intensité des claques. L'effet ne tarda pas : Valérie explosa de plaisir. Sa sœur arrêta alors de la fesser et jouit à son tour malgré elle. Une fois la tension retombée de part et d'autre, elles se prirent dans les bras et se firent de gros câlins.
"Tu m'as fait jouir, dit Valérie.
- Toi aussi, tu m'as fait jouir ! On recommence quand tu veux !
- A ton service, ma belle, mais la prochaine fois, frappe un peu plus fort, c'était encore un poil léger.
- J'en prends bonne note, ma chérie. La prochaine fois, je te donnerai une vraie punition.
- Merde ! J'aurais mieux fait de me taire !" répondit Valérie en éclatant de rire. Elle se mit dans son lit, après avoir enlevé sa jupe, son collant déjà baissé aux genoux ainsi que sa culotte. Ses fesses étaient encore un peu chaudes, mais sans plus. Coralie la borda et posa un baiser sur son front, puis rejoignit sa propre chambre. Encore une nuit qui s'annonçait paisible sur la grande demeure des Vautier....
A SUIVRE
Commentaires
Enregistrer un commentaire