La femme qui entre dans la pièce, Sylvie, est une magnifique femme de quarante ans. C'est l'épouse de Paul. Elle porte un pantalon de toile noire, et un chemisier blanc une paire d'escarpins à talon haut. Valérie la salue poliment et regarde la femme s'asseoir avec distinction.
Paul regardait les deux femmes, sans rien dire.
"Maintenant Valérie ,commença-t-il, il est temps que je vous explique pourquoi vous êtes ici. Hier vous m'avez bousculé.au risque de me faire mal, et ce uniquement parce que vous ne faisiez pas attention où vous marchiez.
- Mais je vous ai présenté des excuses, et je ne vous ai pas blessé juste bousculé.
- Oui effectivement mais il faut que vous appreniez à regarder où vous mettez les pieds, cela vous évitera de bousculer les personnes que vous croisez.
- Mais c'est la première fois que l'on se croise et je n'ai fait que vous bousculer, c'est tout.
- Il faut quand même vous faire pardonner pour n'avoir pas fait attention, et vos piètres excuses ne suffisent pas.
- Vous allez être notre servante pendant quelques heures, ajouta Sylvie.
- Mais de quel droit.
- Valérie, vous ai-je obligé à venir ? reprit Paul.
- Non.
- Quand vous vous adressez à moi, vous dites Monsieur, et ma femme vous dîtes Madame, sinon vous serez punie. Si vous êtes là c'est parce que vous avez accepté ma sentence. Et celle-ci est de nous servir durant quelques heures.
- oui Monsieur, et à quel genre de punition pensez-vous ?
- Une bonne fessée.
- ah mais euh... Dit Valérie. Paul se dirigea vers la cuisine attrapa un tablier, qu'il tendit à Valérie et lui demanda de servir le thé. Elle mit donc le tablier et commença à servir. Mais malheureusement elle renversa un peu de thé brûlant sur la cuisse de Paul, et évidemment il fut brûlé.
Sylvie qui jusque là s'était contenté d'être spectatrice se lève d'un bond et réagit très vite.
- Mais quelle gourde, vous faites !
Elle attrapa une serviette pour essuyer la cuisse de Paul. Et il se dirige vers la salle de bain sans oublier de recommander à Sylvie de se charger de Valérie. En attendant qu'il revienne.
- Valérie retirez votre tablier ainsi que votre jupe. et mettez vous contre le mur les mains sur la tête.
- Mais Madame...!!!
- Je vous ai dit de retirer tablier et jupe. Si c'est moi qui vous les retire cela sera pire.
Valérie obtempéra et se mit face au mur, les mains sur la tête. Sylvie passa derrière Valérie lui baissa sa jolie culotte blanche en dentelle. Et lui met quelques claques bien senties sur ses fesses. Valérie gémit .
Et lui intima l'ordre de ne pas bouger et de garder les mains sur la tête. Ensuite elle lui remonta la culotte. Quand Paul arrive dans la pièce. Il tira une chaise au milieu de la pièce et s'assit.
- Valérie, appela t-il.
- Oui Monsieur.
- Venez ici.
Valérie obéit, se retourna et se dirigea vers Paul. Il l'attrapa par le bras et la coucha sur ses genoux. Et la il commença à lui donner une bonne dizaine de claques sur la culotte. Les claques n'était pas très fortes mais elles tombait à un bon rythme. Il s'arrête de frapper, mit sa main sur le haut de la culotte de Valérie, la baissa découvrant ainsi les fesses bien roses et il reprit les claques de plus en plus fortes.
Valérie commença à bouger et à gémir. Paul lui ordonne de ne pas bouger. Il continua de plus en plus fort, encore une cinquantaine de claques. Valérie n'en pouvais plus. Elle pleurait comme une gamine. Quand Paul jugea que la punition fut suffisante il s'arrêta de frapper, laissa Valérie se calmer en passant sa main sur ses fesses pour soulager la douleur du feu de la fessée.
Ensuite Paul remis Valérie sur ses pieds, elle fut autorisée à remettre sa culotte et sa jupe. Ensuite Valérie refit du thé qu'ils burent tous les trois en devisant sur ce qui venait de se passer. Mais Valérie avait bien mal aux fesses.
- Valérie, mon mari et moi partons dans notre maison de Saint Germain-en-Laye pour la fin de semaine prochaine. Que diriez vous de venir avec nous.
- je ne sais pas Madame.
- effectivement ma femme a une bonne idée. Téléphonez nous vers le milieu de la semaine pour nous donner votre réponse.
- Bien Monsieur. Au revoir."
A suivre...
Commentaires
Enregistrer un commentaire