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Une punition bien méritée.

Nathalie est une jeune fille de 19 ans, toujours à la pointe de la mode. Issue d'une famille aisée, son père est chef d 'entreprise dans un secteur porteur. Une mère sans profession, qui n'a pas besoin de travailler, la fortune familiale lui permet une certaine oisiveté. Nathalie a des facultés intellectuelles telles qu'elle pourrait avoir de très bon résultats seulement, sa fainéantise l'empêche d'obtenir les notes auxquelles elle pourrait prétendre. En dessous de la moyenne de sa classe à l'université privée où elle étudie les mathématiques. Très prétentieuse elle sait bien faire voir qu 'elle a un niveau de vie supérieur à certaines de ses condisciples.

Nathalie arrive tous les jours à 8h20, le temps d'aller prendre dans son casier ses affaires pour son cours de mathématiques qui a lieu a 8h30 chaque matin, dispensé par ce beau professeur Mr Jean Ménager dont toutes les élèves sont secrètement amoureuses.


Ce matin là Nathalie arrive donc à 8h20 se dirige vers son casier, et ô stupeur celui-ci se trouve être entièrement maculé de feutre indélébile et par des insultes allant jusqu'aux noms d'oiseaux les plus divers. Nathalie se dirige vers le bureau de Mr Fox Directeur d'étude de son état, frappe à la porte et attend.

« Entrez, entendit-elle de l'intérieur du bureau. Elle entra donc.

- Bonjour Mr Fox.

- Bonjour Mlle Lebon. Que voulez-vous à cette heure au lieu de vous rendre à votre cours de mathématiques.

- Mr Fox ce matin en me rendant à mon casier pour prendre mes affaires de mathématiques, j'ai trouvé mon casier vandalisé.

- Bien, rendons nous à votre casier. » Mr Fox se lève prestement de sa chaise, se rend à la porte d'entrée l'ouvre laisse passer Nathalie et sort lui méme de son bureau, le ferme à clé. Et se dirige avec la jeune fille en direction des casiers.

- Voilà mon casier, Monsieur Fox.

- Effectivement votre casier est le seul à être maculé de la sorte. Avez-vous une idée de qui pourrai être responsable de vandalisme ?

- Oui Mr Fox, je suis persuadé que la coupable est Stéphanie Durieux. Ils retournent tous les deux au bureau de Mr Fox, ou il fit un billet de retard autorisé.

- Maintenant Mlle Lebon retournez à votre cours de mathématiques donnez ce billet de retard à Mr Ménager et à la fin de votre dernier cours de la matinée, Retrouvez-moi avec Mlle Durieux dans mon bureau. »

Nathalie se rendit donc à son cours. A la fin du dernier cours de la matinée, Nathalie et Stéphanie se rendent devant le bureau de Mr Fox. Nathalie frappe à la porte.


« Mlle Lebon, attendez moi à l'extérieur du bureau s'il vous plaît. » La jeune fille sortie donc du bureau et referma la porte derrière elle.

« Mlle Durieux est-ce vous qui avez vandalisé le casier de Mlle Lebon, demanda le directeur d'études.

- Oui, monsieur, répondit la jeune étudiante.

- Pouvez-vous m'expliquer pourquoi ?

- En réponse à une gifle qu'elle m'a donné hier.

- Pourquoi cette gifle ?

- Je vais être franche, je ne la supporte pas et je lui ai dit que c'était une gamine gâtée par ses parents et que c'était une profiteuse. Elle n'a pas apprécié et elle m'a giflée. Je me suis vengée en taguant son casier. »

Le directeur réfléchit un moment. Il sort un dossier. C'est le dossier d'études de Stéphanie. Il le parcourt attentivement. L'étudiante est bonne élève, ses notes sont largement au-dessus de la moyenne. Les appréciations des professeurs sont bonnes, même si quelques problèmes mineurs de discipline sont présents.

« Mlle Durieux, vous savez que vous avez vandalisé du matériel scolaire, et ces casiers qui vous ont été confiés en début d'année scolaire étaient, en bon état me semble-t-il ?

- Oui, Monsieur.

- Qu'avez-vous à me répondre ?

- Je suis désolée, Monsieur.

- Bien, c'est un début, allez chercher votre camarade. »

La jeune fille va appeler Nathalie, elles se retrouve maintenant toute les deux debout devant le directeur d'études.

« Mlle Lebon avez-vous giflé Mlle Durieux ?

- Oui Monsieur.

- Pouvez- vous m'en expliquer les raisons.

- Non Monsieur

- Vous ne voulez pas m'expliquer ?

- Non Monsieur.

- Vous risquez de me mettre dans de mauvaises dispositions, vous comprenez ? Vous ne voulez toujours pas m'expliquer ?

- Euuuhhh....

- Je vous écoute, mais faites vite, ma patience à des limites.

- Elle m'a insulté !

- Est-ce une raison pour avoir recours à la violence ?

- Non, Monsieur, répondit humblement la jeune étudiante.

- Bien, Mlle Durieux, avez-vous quelque chose à ajouter ?

- Non, Monsieur, répondit Stéphanie.

- Bien, conclut le directeur, allez déjeuner, je statuerai sur votre sort cet après-midi »


Les deux jeunes filles quittent le bureau du directeur d'études et vont se restaurer, en en se demandant quel sort les attends. A 14h00 la deuxième partie de la journée allait commencer par un cours de français, quand quelques coups discrets sont frappés a la porte.

« Entrez ! Dis Mme Larivière, la professeur de français.

- Veuillez m'excuser, madame, dit le surveillant qui vient d'entrer, Monsieur Fox demande à voir Mlle Durieux dans son bureau.

- Mlle Durieux, veuillez suivre Eric qui va vous accompagner au bureau du directeur. »

La jeune fille se lève et sort de la classe en suivant le surveillant. Arrivés devant le bureau, ce dernier s'éclipse laissant seule la jeune étudiante inquiète de la suite des événements. Elle frappe à la porte et sur invitation de Mr Fox, entre et se tient debout face à lui, les mains derrière le dos.

« Mlle Durieux, j'ai statué sur les faits évoqués ce matin, et je vous déclare coupable de dégradations de matériel de l'établissement. En conséquences et compte-tenu de votre dossier, vous n'écopez que d'une semaine d'exclusion au lieu du mois prévu par le règlement.

- Mais Monsieur, je vais louper une semaine de cours ! Répond la jeune fille.

- Il fallait y penser avant, mademoiselle, ne croyez-vous pas ?

- N'y aurait-il pas un autre moyen de me punir ?

- A quoi pensez-vous ?

- L'article 21 du règlement prévoit une alternative. »

Le directeur reprend le fascicule réglementaire afin de relire ce fameux article 21. Celui-ci explique effectivement, qu'une sanction administrative peut être remplacée, avec l'accord de la sanctionnée, par un châtiment corporel adapté à la faute commise.Cet article n'a pas été utilisé depuis des lustres, mais puisqu'il est dans le règlement, il est valable et toujours en vigueur.

« Je vois avec plaisir que le règlement est lu. Il est vrai que cet article existe et par conséquent nous nous devons donc de l'appliquer, Mlle Durieux je vous le demande officiellement, voulez-vous avoir recours à l'article 21 du règlement intérieur de l'établissement ?

- Oui Monsieur.

- Dans ce cas, veuillez signer ce document. »

Le directeur lui présente le document en question, afin que l'étudiante le lise et le signe pour accord.

La jeune fille prend le papier en tremblant le lit et y appose sa signature en bas de page.

«Vous avez donc fait votre choix. Nous procéderons à l'exécution de votre punition qui va vous faire passer l'envie de vandaliser du matériel scolaire ultérieurement. »

La jeune étudiante se demande subitement si cette décision est la meilleure, et ce que l'avenir lui réserve. Quoiqu'il en soit, ce choix est toujours mieux que de perdre une semaine de cours, ce qui pourrait mettre en danger la suite de ses études. De toute façon, c 'est trop tard, elle a signée.

« Retournez en cours et revenez me voir à la fin de ceux-ci, envoyez-moi Mlle Lebon s'il vous plaît ».

La jeune fille obéit donc et ce rend à son cours de français d’où elle envois Nathalie voir Mr Fox. Celle-ci frappe à la porte du directeurs

«  Entrez Mlle Lebon.

- Oui Monsieur ?

- Vous savez que pour la violence dont vous avez fait preuve vous méritez une punition ?

- Oui Monsieur !

- Une semaine d'exclusion, je ne pense pas que votre père en sera ravi.

- Non Monsieur.

- Mlle Lebon, connaissez vous l'article 21 du règlement intérieur de l'université ?

- Non Monsieur.

- Il s'agit d'une alternative à votre exclusion, de quelque chose qui pourrait vous paraître d'une autre époque.

- Je ne comprends pas, dit-elle. Pouvez-vous m'expliquer ?

- Il s'agit de vous administrer une bonne fessée. »


Nathalie est interloquée, comment peut-il lui proposer une telle option, elle qui n'a jamais été fessée de sa vie, même par ses propres parents.

« Mais Monsieur... Vous ne pouvez pas faire cela.

- C'est à vous de décider. Je vous rappelle que c'est cela ou l'exclusion d'une semaine, avec annotation dans votre dossier. »

La jeune étudiante réévalue la situation. Si son père apprend qu'elle est exclue, il risque de lui couper les vivres, ce qui serait inacceptable pour elle. Elle tient à son train de vie. Plus qu'une solution, accepter cette fameuse fessée.

« C'est d'accord, Monsieur, finit-elle par dire.

- Bien, dans ce cas, veuillez signer à votre tour ce document.

- Pourquoi à mon tour ?

- Votre camarade a aussi accepté cette option.

- Sans blague !

- N'aggravez pas votre cas, Mademoiselle. »

Elle signe le document, le remet au directeur et sort du bureau. Elle n'est toutefois pas rassurée quant à la suite des événements. A la fin des cours les deux jeunes filles se présentent comme convenu devant le bureau du directeur pour y subir la correction qui leur est due. Elles frappent à la porte.

«  Entrez, entendirent-elles. Elles s'exécutèrent.

- Vous nous avez convoquées, nous sommes là, Monsieur.

- Merci Mesdemoiselles, je n'en attendais pas moins de vous. Vous savez pourquoi vous êtes là ?

- Oui, Monsieur, répondit Nathalie.

- Pour commencer, mettez-vous au coin toutes les deux, les mains sur la tête. »

Les deux étudiantes obéirent sans discuter. Elles savaient qu'elles n'avaient aucun intérêt à la ramener dans leur situation. Le directeur se leva et alla verrouiller la porte pour être de ne pas être dérangé. Celui-ci ordonna aux jeunes filles d'ôter leur jupe. Elles restèrent ainsi au coin juste avec leur culotte blanche. Elles ressentirent la honte d'être ainsi exposées. Pour Nathalie qui n'a jamais connue cette situation, la sensation de punition la perturbe et les larmes lui envahirent les yeux. Ce retrouver dans cette tenue sous les yeux du directeur, la met particulièrement mal à l'aise. Quand à Stéphanie elle y est beaucoup moins sensible l'ayant déjà vécue. Toutefois elle appréhende la suite.

« Mlle Durieux, mettez-vous face à moi. » Cette dernière obéit. Le directeur passa deux doigt autour de l'élastique de la culotte de la jeune fille et la baissa promptement. Puis il tira Stéphanie par le bras et la bascula en travers de ses genoux sous les yeux de Nathalie un peu effrayée sachant que son tour viendra.

« Mlle Durieux, vous allez être fessée pour avoir vandalisé du matériel de l'école.

- Oui, Monsieur.

- Vous pouvez crier ou pleurer, mais vous ne devez pas bouger, est-ce clair ?

- Oui, Monsieur.

- Je vais vous faire passer l'envie de recommencer. »

Stéphanie se prépare mentalement à recevoir les premières claques. Celles-ci tombent avec une force modérée à un rythme régulier. Malgré cela, la jeune femme ressent bien l'impact de cette première salve. Après une dizaine de claques, Mr Fox fait une pause de quelques secondes et reprend de plus belle, cette fois avec nettement plus d'intensité. Clairement, les fesses de Stéphanie commencent à la brûler, les larmes font leur apparition. Elle se met à gémir. Elle tente de se protéger avec une main aussitôt bloqué au creux de ses reins par le directeur. Ce dernier augmente encore sa force de frappe. La pauvre étudiante craque et se met à pleurer ostensiblement à chaudes larmes. Mais Mr Fox n'en a cure et continue la punition jusqu'à obtenir une belle couleur rouge sur les fesses de la punie. Puis il s'arrête. « J'espère que cette fessée vous aura fait passer l'envie de dégrader le matériel de l'établissement, Mademoiselle !

- Oui, Monsieur, répondit-elle encore en pleurs.

- Bien, retournez au coin et ne remontez pas votre culotte, gardez les mains sur la tête.

- Bien, Monsieur »

Celle-ci rejoignit sa place au coin, les fesses brûlantes et bien écarlates. Cette fessée, elle s'en souviendrait, c'est sûr. Elle ne pensait pas que ce serait si douloureux. Nathalie n'en menait pas large et les larmes coulaient déjà sur ses joues, lorsque Mr Fox l'appela à son tour. De même que pour sa camarade, le directeur lui baissa fermement la culotte et elle se retrouva sur ses genoux.

« Mlle Lebon, la violence dans cet établissement est intolérable. En conséquence votre punition sera exemplaire. » Les claques tombent aussitôt puissantes et rapides. L'étudiante se met à gémir et pleurer immédiatement, tant les fesses lui brûlent. Elle le supplie d’arrêter, sans aucun effet bien entendu. Nathalie à l'impression qu'on lui arrache la peau des fesses tellement la douleur est intense. Elle tente de mettre sa main pour se protéger, mais bien sur le directeur la bloque également dans ses reins. La fessée lui semble interminable. Mr Fox lui dis en continuant de la fesser sévèrement que jamais il ne tolérerait ce comportement à l’intérieur de l'établissement. Il ne cesse les claques qu'une fois les fesses de la jeune fille uniformément rouges. Il la relève et lui dit comme à Stéphanie de rejoindre le coin, les mains sur la tête et lui précise de ne pas remonter sa culotte. Les jeunes filles en pleurs restent telles que l'à ordonné Mr Fox. Après un certain temps et une fois calmées ? Il les libère en leur précisant que la prochaine fois la punition serait nettement plus sévère.

Les deux élèves se rhabillent rapidement, salues poliment le directeur avant de sortir du bureau. Elles se promettent de ne plus se retrouver dans la même situation. Cette punition du coup les a rapprochées et elles fissent par se consolées dans les bras l'une de l'autre.

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