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Les jeux innocents de Valérie (3)

 Mercredi après midi Valérie téléphona à Paul :

" Bonjour Monsieur Paul, Valérie à l'appareil.

- Bonjour Valérie.

- Vous m'avez dit de vous téléphoner pour vous donner ma réponse. Eh bien, je ne sais pas ce qui va se passer, mais j'accepte de me joindre à vous et à Madame Sylvie pour la fin de semaine.

- J'en suis heureux, Valérie. Donc notre chauffeur viendra vous chercher samedi matin. Il vous attendra devant chez vous, dans la voiture à neuf heures précises. Et surtout ne soyez pas en retard.

- Oui Monsieur Paul, l'heure me convient.

- Au revoir Valérie, à samedi.

- Au revoir Monsieur Paul, oui, à samedi."

Paul raccrocha le téléphone, et prévint sa femme que Valérie serait des leurs , samedi prochain.

Six heures, samedi matin. Valérie se leva. Elle n'a pas beaucoup dormi. Elle  était pensive. Qu'allait-t-il se passer ce weekend. Elle prit très vite une tasse de café. Elle passa dans la salle de bain, où elle prit un bain parfumé, et se détendit un moment. Elle sortit du bain et se sécha rapidement. Elle alla dans son dressing choisir sa tenue du jour ainsi que celle du lendemain. Elle choisit un joli tailleur pantalon couleur rouille. Cette couleur lui allait bien au tain, un pantalon sport bleu et un chemisier assorti. Elle se rendit rapidement dans sa chambre, regarda l'heure, elle se dépêcha, il ne faut surtout pas qu'elle soit en retard, Monsieur Paul n'apprécierai pas du tout. Elle ouvrit un des tiroirs de sa commode, y prit deux culottes, et les soutiens gorge assortis. Elle se pressa de se vêtir, enfila le pantalon bleu ainsi que le chemisier. Elle choisit aussi de porter des bas. Elle s'installa devant sa coiffeuse, se maquilla avec soin et se coiffa. Elle ajouta un peu de parfum pour peaufiner sa tenue. Elle fut prête. Elle regarda à nouveau l'heure, juste le temps de souffler avant que le chauffeur ne soit devant la porte. Elle reprit tranquillement un café. Elle regarda à nouveau la pendule de la salle à manger. Il était temps de prendre ses affaires et de sortir, ce qu'elle fit sur le champ. Le chauffeur arriva alors qu'elle fermait sa porte a clé. Celui-ci sortit du véhicule la casquette à la main.

" Bonjour Madame." dit il tout en ouvrant la porte arrière de la voiture, il prit les affaires que Valérie lui tendit, les rangea et referma la portière de la jeune femme. Il démarra, pour aller en direction de Saint Germain-en-Laye. La route n'était pas très longue. La voiture entra sur un chemin bordé d'une rangée de rosiers d'un rouge vif, c'était très beau. L'angoisse commençait tout de même à monter car elle ignorait totalement ce qui l'attendait durant ce weekend, mais elle était tout de même curieuse. La voiture pénétra dans une cour intérieure gravillonnée, autour de laquelle était plantés très régulièrement les mêmes rosiers rouges que dans l'allée. Cela donnait une atmosphère d'un autre temps. Elle aperçut deux dépendances de chaque côté de la grande demeure qui était construite, elle, tout en pierre de Meulière, sur deux étages. Cette maison était décidément magnifique. La voiture s'arrêta juste devant la porte d'entrée. Le chauffeur descendit et toujours la casquette à la main, ouvrit la portière à Valérie. 

Paul et Sylvie vinrent l'attendre sur le perron.  Ils descendirent tous les deux les quelques marches, pour venir saluer leur invitée. Et tous trois rentrèrent dans la maison, dans laquelle Valérie se sentit de moins en moins à l'aise.

              " Voulez-vous nous suivre dans le salon où Coralie s'apprête à nous servir le thé. Mais vous me semblez bien tendue, Valérie. Si vous vous sentez mal à l'aise dans cette maison, qui sera aussi la vôtre durant le weekend, et que vous ne vouliez pas rester, il n'y a pas de problème. Il vous suffira d'appeler Gérard, notre chauffeur, pour qu'il vous raccompagne, sans qu'il ne vous soit posé aucune question, et aucun reproche ne vous sera fait. 

- Nous allons tout de même vous demander de signer ce formulaire, annonça Sylvie, il s'agit d'un contrat. Vous pourrez rompre celui-ci à tout moment."

Valérie but une gorgée de thé bien chaud, histoire de se donner de la contenance. Elle reposa la tasse, un léger sourire sur ses lèvres. Elle prit le document et entreprit de le lire. Elle le signa en bas de page avec le stylo plume, tendu par Paul. 

" Voilà qui est fait. Merci Valérie". L'homme prend le document et le range dans un très beau secrétaire  de style. Valérie ne réussit pas à situer la période de celui-ci. Tous trois burent leur thé tout en parlant de banalités. Valérie commençait à se détendre. Ils se levèrent tous trois. Sylvie demanda à Valérie si elle souhaitait se rendre dans la dépendance qui lui était réservée. Celle-ci accepta bien volontiers, d'autant que cela lui permettra de se rafraîchir un peu après toute cette tension, ainsi que de faire quelques retouches à son maquillage. Sylvie demanda à Coralie, de bien vouloir montrer à Valérie le chemin de ses appartements. Valérie découvrit cette fameuse dépendance, au demeurant, bien plus grande que son propre appartement, qui était déjà de bonne taille. Il y avait deux très belles chambres, une salle à vivre très claire, une petite cuisine et une salle de bain. Le tout décoré de façon luxueuse. 

Vers midi , Paul, Sylvie et Valérie se retrouvèrent dans la salle a manger pour y prendre le déjeuner. Paul en parfait homme de maison, proposa à ces dames un apéritif. Sylvie prit une crème de whisky, elle aimait beaucoup cet alcool. Quant à Valérie, elle choisit un porto blanc avec une olive. Paul, lui, se servit un Baby.  Après avoir refermé le bar, il revint s'asseoir auprès des deux femmes.  Tous les trois devisèrent dans une ambiance des plus détendues.

Paul fit tinter la petite clochette sur la table. Coralie, jeune femme superbe avec des cheveux mi longs brun magnifiquement disciplinés, un petit tablier blanc immaculé sur une robe noire qui lui arrivait juste au dessus du genou, apparut avec un plateau vide à la main, pour desservir les verres de l'apéritif. Elle retourna à la cuisine, et revint, tenant à la main les entrées du repas dont une salade de tomates en autres. Elle se mit à côté de Valérie pour la servir, mais fit un faux mouvement, laissant choir un malheureux morceau de tomate sur le pantalon de la jeune femme. Celle-ci eut un mouvement de recul :"Quelle gourde !!!

- Ça n'est pas la peine de m'insulter, je ne l'ai pas fait exprès.

- Veuillez m'excuser de cet emportement, Monsieur Paul, mais vraiment, elle aurait pu faire un peu attention, s'excusa Valérie.

- Pas de soucis Valérie, c'est bien normal, répondit-il. Coralie, vous n'avez pas à parler de la sorte à notre invitée. Vous vous doutez bien que vous méritez d'être puni pour votre maladresse qui a taché le pantalon de Valérie, et pour lui avoir mal parlé. Excusez-vous immédiatement.

- Excusez-moi Mlle Valérie, tenta la jeune serveuse.

- Mieux que ça Coralie, ou vous en subirez les conséquences.

- Je vous prie de bien vouloir me pardonner, Mlle Valérie, pour vous avoir tachée et pour vous avoir mal parlé. 

- J'accepte vos excuses, répondit Valérie.

- Merci Mlle Valérie." dit Coralie.

Paul se leva de table, posa sa serviette et s'adressa à Coralie. 

" Maintenant nous allons passer à votre punition.

- Non Monsieur Paul, s'il vous plaît, je ne le referai plus.

- Coralie, il est inutile de me supplier, vous méritez d'être punie. Baissez votre culotte, relevez votre robe, et allez vous mettre face au mur, les mains sur la tête. 

- Oh non Monsieur, s'il vous plaît.

- Coralie je ne me répéterai pas, obéissez immédiatement ou je me chargerai de vous faire comprendre ce qu'est la discipline ! 

- Mais Monsieur tenta Coralie.

- Encore un mot Coralie et la punition est doublée."

La jeune serveuse n'insista pas plus et prit la position demandée, baissa sa culotte, et remonta sa robe jusqu'à la taille. Celle-ci tint toute seule car suffisamment étroite.

Paul s'approcha de la serveuse. L'angoisse de cette dernière monta d'un cran en sentant l'homme se tenir derrière elle. Elle connaissait bien sa main, pour l'avoir reçu assez souvent. Elle savait qu'elle allait passer un moment désagréable, et qui plus est, devant Valérie, cette femme qu'elle connaissait à peine. Prendre une fessée devant une inconnue, qu'elle honte ! 

Paul commença doucement à passer sa main sur les fesses de Coralie, et soudain, une pluie de claques tombèrent sur les jolies petites fesses de la jeune impudente. Paul continua à frapper, de plus en plus fort. Coralie tenta une illusoire protection avec sa main. Paul s'arrêta. "Coralie, j'ai dit : les mains sur la tête." Comme elle ne les retirait pas pas, Paul promit à la jeune femme trois minutes de fessée supplémentaires par tentative de protection. Coralie qui pleurait, retira, ses mains et les remit sur la tête. 

"Très bien, Coralie. Donc à partir de maintenant cela va durer trois minutes. Si je vois une main sur vos fesses autre que la mienne, ça sera le double et je doublerai à chaque fois. Donc, à vous de voir." 

Paul regarda la pendule et il commença à frapper sur les fesses de Coralie, qui pleurait de plus belle.

"S'il vous plaît Monsieur Paul, stop ! je ne le referai plus, je vous en supplie !" 

L'homme, sans s'émouvoir le moins du monde, continue à frapper à un rythme soutenu avec une  très forte intensité. Coralie n'en pouvait plus, cela faisait vraiment mal. Les fesses de la jeune femme rougissaient à vue d'œil. 

"Cela vous apprendra à faire attention à ce que vous faites, et votre fessée serait déjà terminée si vous n'aviez pas mis vos mains. Vous savez que j'ai horreur de ça. 

- Arrêter Monsieur je vous en prie." 

Les claques continuait à tomber. Une des mains de Coralie quitta la tête pour se rapprocher de ses fesses. Paul l'avertit une fois de plus. Elle les remit immédiatement sur sa tête. Au bout du temps imparti, son bourreau s'arrêta et caressa doucement les fesses de Coralie, qui continuait à pleurer à chaudes larmes. Il l'a prit dans ses bras pour la calmer. Mais sa punition n'était pas terminée pour autant. 

"Valérie, commença Paul, souhaitez-vous corriger cette serveuse maladroite à votre tour ?"

Coralie jeta un regard suppliant à Valérie. Se faire fesser par elle serait la pire des humiliations, et elle n'avait vraiment pas besoin de ça. En plus, ses fesses lui faisait déjà un mal de chien. Elle allait avoir du mal à s'asseoir pendant un ou deux jours. Alors en prendre encore une, si elle pouvait l'éviter, elle l'éviterait, d'où son regard de chien battu à Valérie. Cette dernière ne savait pas trop comment réagir. Elle avait vraiment envie de lui en coller une pour son insolence. Après tout, elle en avait bien, elle-même, reçue une pour moins que ça. Par contre, elle ne s'était jamais retrouvée du "bon" côté de la main. Cela la troublait, et l'excitait en même temps. La jeune femme regarda Paul et hocha la tête de haut en bas. Sur un signe de l'homme, Coralie s'approcha de Valérie, la culotte en bas des chevilles, entravant sa démarche hésitante. D'un signe discret de la tête, Valérie indiqua à la serveuse de se mettre à sa droite. Cette dernière s'exécuta. D'un autre signe de tête, l'invitée ordonna à la serveuse à s'installer en travers de ses genoux. Cette dernière regarda Valérie avec des yeux pleins de supplications avant de s'allonger sur les cuisses de sa tortionnaire. Valérie posa sa main sur les fesses nues de Coralie. Celles-ci étaient particulièrement douces, le contact en était fort agréable. Elle les caressa un peu. La jeune punie ne détestait pas ce geste apaisant et bienveillant de la part de Valérie. Elle se dit qu'elle souffrirait peut-être, sûrement, un peu moins qu'avec Monsieur Paul. Mais la jeune invitée se sentait hésitante mais excitée, sa culotte pouvait en témoigner. Elle décida de tenter le coup. Elle commença à claquer les fesses de Coralie. C'était des petites claques pas bien méchantes. La jeune femme y prit un certain plaisir inattendu. La serveuse était pour l'instant bien calme, ce qui prouvait que la fessée, pour le moment, n'était pas vraiment efficace. Mais Valérie augmenta nettement l'intensité et la fréquence des claques qui tombaient maintenant à un bon rythme sur les fesses déjà douloureuses de Coralie. Cette dernière commença à gémir et à bouger un peu, sans excès toutefois. Si cela n'augmentait pas plus, cette fessée resterait très supportable, même si elle était désagréable et humiliante. Mais Valérie ne l'entendait pas de cette oreille. Elle avait subi un affront, et malgré les excuses arrachées à la serveuse, elle comptait bien lui faire comprendre que ça ne se faisait pas de répondre à une invitée de manière insolente. Elle frappa le derrière de Coralie avec une force qu'elle ne se connaissait pas, ce qui fit craquer la jeune serveuse. Cette dernière lâcha ses larmes en suppliant Valérie d'arrêter, tant c'était maintenant devenu insupportable. Mais sa tortionnaire y prenant goût continua encore une minute ou deux paraissant une éternité pour la punie. Enfin, Valérie stoppa net la fessée, tout en gardant Coralie sur ses genoux, le temps qu'elle se calme un peu. Ses fesses étaient devenues rouges sur l'ensemble de la surface de son postérieur. Cela brulait vivement. C'est sûr, elle allait s'en souvenir de celle-là. Valérie fit relever sa victime et se leva à son tour. Elle prit Coralie dans ses bras pour la consoler. Cette dernière apprécia énormément le geste et remercia mentalement Valérie de l'avoir fait, même si aucun mot ne sortit de sa bouche. Elle reconnut que si la punition était sévère, elle était méritée et demanda pardon, encore une fois à Valérie. Cette fois-ci, ce fut réellement sincère.

Une fois que tout le monde eut retrouvé un peu de contenance et de calme, l'incident fut oublié et le repas repris dans une ambiance détendue. Même Coralie avait retrouvé son sourire après un moment de vexation, surtout envers Monsieur Paul. Le repas terminé, Valérie se retira dans ses appartements et se mit à réfléchir à ce qui s'était passé au début du repas, sa propre excitation, son propre plaisir, celui, inhabituel pour elle, de dominer. C'était perturbant. Une autre chose la travaillait : le fameux document. Qu'impliquait-il réellement pour la suite du séjour ? Que prévoyait le couple qui l'hébergeait ? Quel allait être le programme des réjouissances ? Elle n'allait sans doute pas tarder à le savoir...


A SUIVRE...



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