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Les jeux innocents de Valérie (Spin-off Marc)

S'appeler Ménager, franchement, c'est pas top, à l'école. Les brimades et les moqueries, Marc y a droit façon SCUD ! Il n'a alors que dix ans. Heureusement, il a un maître qu'il aime bien. Donc, il ne va pas trop à l'école à reculons. Un an plus tard, les choses changent. Il a pris de l'assurance et ne se laisse plus chahuter par les autres. Il s'impose par ses bons résultats scolaires. 
Côté famille, les parents de Marc sont aimant, et font attention à leur fils. Ils lui prodigue une éducation ouverte mais avec des valeurs strictes de discipline et de comportement. Par contre, il ne subira aucun châtiment corporel durant son enfance, ses parents sont radicalement contre. Mais cela ne l'empêche pas d'être puni lorsqu'il dépasse les bornes. Avec un père assez autoritaire, il ne lui serait pas venu à l'idée de le contester. Mais Marc n'était pas un enfant difficile. Il réussit assez bien l'ensemble de son cursus scolaire du premier et du second cycle jusqu'au baccalauréat qu'il obtiendra avec mention, sans trop se fouler. Arrive alors l'université et la majorité. A cette époque, Marc est assez volage, et enchaine les conquêtes amoureuse. Il est toutefois fidèle et n'a jamais trompé une fille. Il termine une relation avant d'en commencer une autre, mais n'en a jamais plusieurs en même temps. S'étant orienté vers l'enseignement, il passe avec succès son CAPES à l'âge de vingt deux ans, sans jamais avoir redoublé aucune classe. C'est donc un an plus tard qu'il décroche son premier poste de professeur dans un collège de banlieue. C'est un moment difficile où il se pose des questions sur sa vocation d'enseignant. Et puis il rencotre un collègue qui donne des cours particuliers à des enfants ou étudiants de famille aisées. Voilà une chose qui lui correspond. C'est moins stable que l'enseignement public ou privé en établissement, mais cela paye mieux et il peux s'organiser comme il le souhaite. Il a aussi le privilège de choisir ses élèves. Il a fait le choix de rester célibataire, une relation amoureuse lui semblant trop compliqué à gérer avec son travail. Il préfère donc rester libre, même si quelques aventures se sont invitées par ci, par là. Il aime lire. Et ses lectures l'amène parfois à découvrir le monde un peu tabou de l'érotisme et du sexe. Il aime bien la façon dont certains écrivains racontent les plaisirs de la chair. Et puis un jour, il tombe sur une nouvelle parlant de la discipline et des châtiments corporels. Le domaine qui l'intrigue le plus est celui de la fessée. Alors, via un internet débutant, il se renseigne, échange, fait des connaissances virtuelles. Ce goût devient alors un fantasme, et il souhaite le vivre, mais comment faire pour le réaliser ?
Six mois passent sans aucune concrétisation, jusqu'au jour où il rencontre les parents d'une étudiante en droit. Celle-ci a dix-neuf ans, un bon potentiel intellectuel mais ses parents ne savent plus quoi faire pour la forcer à travailler. Marc fait alors une proposition peu orthodoxe aux parents. Il s'agit d'inculquer à la demoiselle une discipline de travail. Si elle ne respecte pas les consignes de son professeur, alors elle sera punie...avec une fessée. Les parents, un peu surpris de prime abord, acceptent la proposition de Marc. Mais Marc veut en plus l'accord de l'étudiante, Sophie, de son prénom, avant d'entamer quoi que ce soit. Il passe donc plus de deux heures à discuter avec elle. Son choix doit être libre et éclairé. Quoique pas très rassurée, elle accepte le deal de son futur professeur. A la grande surprise de Marc, le système fonctionne et Sophie obtient son diplôme haut la main. Les parents, très satisfait vont alors recommander Marc à leurs relations. Le professeur va commencer à se faire une très bonne réputation de précepteur strict et efficace. Le bouche à oreille fonctionne et bientôt, le professeur-tuteur va littéralement crouler sous les demandes. Il est obligé de faire le tri. Tous les contrats ne font pas appel à une discipline par la fessée, mais c'est tout de même le cas pour une bonne moitié. Au plus fort de son activité, Marc se retrouve avec dix élèves, dont sept sont des filles. C'est trop et il décide de ne garder que les sept étudiantes. Pendant tout ce temps, il a affiné ses techniques pédagogiques et disciplinaires rendant ses tutorats encore plus efficaces. Le taux de réussite aux examens de ses étudiantes frôlent les cent pour cent. Sa réputation fait qu'il n'a plus besoin de chercher des élèves, ce sont elles qui viennent à lui, ou plutôt, leurs parents.
Cela fait plus de dix ans qu'il exerce, lorsqu'en ce jour de l'année deux mille dix-huit, un couple vient le voir pour un cursus de remise à niveau. A l'origine, ce n'est pas trop son domaine, mais le salaire est très intéressant et il y a une demande de discipline forte, car la demoiselle a besoin d'un bon cadrage. La jeune fille s'appelle Coralie et elle est hébergée par monsieur et madame Vautier. Il accepte le contrat et commence à tutorer Coralie. Effectivement, côté cadre, c'est pas génial. Il y a du travail. Mais avec le temps et quelques bonnes fessées, les efforts portent leurs fruits et la jeune étudiante atteint ses objectifs. Le contrat n'étant pas exclusif, Marc conserve ses autres élèves. Toutefois, il cherche à se rapprocher du domicile des Vautier car Coralie lui prend plus de temps que les autres. Il déménage donc de sa banlieue pour résider en plein Paris, maintenant que ses moyens le permettent. Trois années s'écoulent ainsi, jusqu'à cette année deux mille vingt et un où Paul et Sylvie Vautier lui offrent un nouveau contrat : celui d'une certaine Valérie. 

FIN DU SPIN-OFF. 

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