Monsieur et Madame, Vautier sont extrêmement fier et heureux. Après avoir attendu tellement d'années. Ils ont enfin le droit de porter le prestigieux titre de " PARENTS ". C'est officiel, ils ont deux grandes filles : Coralie et Valérie Vautier.
Aujourd'hui c'était l'effervescence à la maison. Les heureux parents, acceptèrent (non sans mal) que l'une des prunelles de leurs yeux, Valérie se fiance à Marc Ménager, son précepteur. Un homme bien, selon Paul, et qui va savoir la prendre en mains. Mais attention, les fiançailles n'ont rien à voir avec le mariage. Valérie monte dans sa chambre pour se préparer. Elle se doucha, s'habilla, se coiffa. Elle se regarda dans son miroir et elle vit une magnifique jeune femme qui allait se fiancer avec l'homme qu'elle aimait. Elle resta quelque instants à réfléchir. Il y a presque un an, elle n'était qu'une petite employée, sans vraiment de projet dans uns petit appartement. Que pouvait elle espérer ? Epouser un collègue, aucune promotion en vue, une famille, oui elle en avait une, quelque part, mais honnêtement elle s'en moquait. Et aujourd'hui, elle était devenue une femme magnifique, qui avait repris ses études, elle allait bientôt entrer à l'université des sciences, et allait se fiancer. Comment aurait elle pu imaginer une telle chose. Elle quitta ses réflexions, il lui fallait se dépêcher, elle n'était pas entièrement prête. Elle fouilla dans sa boite, à bijoux. Son pendentif en forme de cœur, où était-il ? Elle en était pourtant sûr, elle l'avait mis dans cette boite, elle l'avait encore vue la veille. Quand, une idée lui vint à l'esprit.
" Coralie!!! appela-t-elle d'une chambre à l'autre.
- Oui Valérie, que veux tu ? Demanda t-elle.
- As-tu vu mon pendentif.
- Euuh !!! Lequel, Valérie, demanda innocemment Coralie.
- Tu sais bien, celui que Marc m'a offert il y a deux semaines.
- Ah celui-ci dit-elle.
- Alors ? commença à s'impatienter Valérie.
- eh bien, je te l'ai emprunté, dit Coralie sans se démonter.
- Quoi, tu es entré dans ma chambre, et tu as fouillé dans mes affaires, sans me demander mon autorisation ? Je vais aller voir papa !"
Valérie descendit les marches rapidement, et elle croisa son père, qui traversait le corridor.
" Papa il faut que je te parle.
- Que se passe t-il ma chérie, tu m'as l'air bien énervée ? Calme toi et expliques moi ton problème.
- Voilà papa me donnes tu l'autorisation, de corriger sévèrement Coralie ?"
Paul fut interloqué par une telle demande.
" Expliques- toi calmement et si je juge du bien fondé de ta demande, alors je te donnerai peut-être mon accord." répondit Paul.
Valérie lui expliqua, le méfait de sa sœur, en précisant bien qu'elle était entrée dans sa chambre en son absence.
"Eh bien ma fille, fais ce qu'il te semble juste." répondit Paul.
Valérie remonta et alla dans la chambre de sa sœur, non sans avoir pris en passant le martinet, rangé dans le tiroir du corridor.
" Coralie, ce que tu m'as fais est proprement inadmissible, et tu vas recevoir une correction. J'ai l'autorisation de papa, dit Valérie à sa sœur.
- Noooon, je suis désolée, je ne le referais plus. Dit Coralie effrayée par la colère de sa soeur.
- Je te le confirme, tu ne recommenceras pas lorsque tu auras reçu cette correction.
- Nooon, ne fais pas ça s'il te plaît, pas avec le martinet, je t'en prie...
- Inutile d'insister, baisse ta culotte et allonge toi sur mes genoux, si c'est moi qui le fais, tu vas le regretter alors choisis, mais vite."
Devant l'air décidé de sa sœur, elle comprit qu'il valait mieux ne pas insister, et s'exécuta. Une fois sur les genoux de Valérie, elle se mit à pleurer, avant d'avoir reçu la première claque.
" Maintenant, Coralie je vais t'apprendre à respecter mes affaires, ne pas te servir sans me le demander." Elle commença, à la fesser fermement. Dès les premières claques, Coralie qui pleurait déjà, commença à bouger et à crier, tant Valérie y mettait du cœur. Après une trentaine de claques, bien douloureuses elle s'arrêta de frapper les fesses de sa sœur, et les frotta, elles étaient bien rouges. Coralie fit mine de se relever.
" Qui t'a permis de bouger, ou de te relever?
- Ben !! dit Coralie, tu as fini.
- Absolument pas, et tu le sais très bien. Ce que tu as reçu n'était qu'un échauffement pour tes fesses, maintenant nous allons passer aux choses sérieuses.
- Non!! S'il te plaît, pas ça, j'ai déjà très mal, tu n'y as pas été de main morte.
Valérie, sans répondre à sa sœur prit le martinet, à côté d'elle, et la prévint : "Tu as reçu trente claques à la main, et tu vas en recevoir autant, avec le martinet, cela t'apprendra à respecter mes affaires.
- Noooon,!!! Je vais pas pouvoir m'assoir.
- Assez discuté, maintenant on va commencer les trente coups de martinet."
Valérie commença à frapper avec le martinet les fesses de la pauvre Coralie qui hurlait, et suppliait sa sœur. Elle n'avait cure de ses suppliques et ne s'arrêta que lorsque Coralie eut reçu les trente coups promis par Valérie. Elle reposa le martinet et prit le tube, de pommade qu'elle avait emmené en même temps que le martinet, pour calmer la douleur, des fesses de sa sœur. Elle lui passa doucement la pommade et lui dit gentiment :
"Avoues que tu la méritais, celle-ci.
- Oui dit la jeune, femme tout en pleurant.
- Maintenant tu vas rester tranquille pour te calmer. Ensuite tu t'habilles, et tu descends pour nous rejoindre. Et n'oublies pas de me rendre mon pendentif.
- Oui Valérie." dit la jeune femme.
Trente minutes plus tard, Coralie rejoint la familles pour le repas, elle avait les yeux rougis par les pleurs. Paul la regarda, et l'embrassa, tendrement.
A SUIVRE....
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