Et voilà Valérie et Marc sont fiancés. La famille de Paul et Sylvie s'agrandit, à la plus grande joie de Sylvie. Mais ca n'est pas pour autant que les fesses de Valérie sont au repos, au contraire. Marc, semble plus sévère que Paul. Et la préparation à l'examen d'entrée n'est pas encore au point, donc les cours continuent, et elle demeure toujours chez ses parents, donc, les règles ne changent pas pour elle.
" Te rends tu compte Sylvie, on vient juste de devenir parents, et c'est déjà fini, dit Paul.
- Mais non, on ne les perd pas. On gagne des gendres. On agrandi, notre famille. Et nos filles ne sont pas parties. Valérie est fiancée, mais elle n'est pas encore mariée. Ce qui te déranges, c'est qu'il y ait un autre homme dans la vie de tes filles, tu n'es plus le seul dans leur cœur."
Au mois de juin, lors d'un repas, une discussion s'engagea entre Valérie, ses parents et son fiancé.
" Valérie dit Marc, il est hors de question que tu arrêtes tes cours sous prétexte que ce sont bientôt les vacances scolaires.
- Mais, Marc j'ai quand même le droit de me reposer, je suis fatiguée, cela fait des mois que je travaille d'arrache-pied pour cet examen.
" Tu penses que tu es prête pour cet examen d'entrée, s'enquit Paul.
- Oui papa!! Répondit Valérie.
- Ah tu crois ça ? Lui demanda Marc.
- Ben oui, pourquoi ? Marc.
- Marc a raison, Valérie, dit Paul, tu n'es pas prête, et tu le sais très bien. Il y a certaines matières, les plus importantes où ça pêche sérieusement. N'est ce pas?
- Tous ces mois de sacrifices cela ne te déranges pas ! Tout ça pour quelques jours de vacances ! Objecta Marc.
- Mais je suis fatiguée, depuis des mois j'étudie, sans répit. Il faut que je me repose, insista la jeune femme.
- J'en conviens, tu as besoin de faire une pause avant de passer l'examen et ensuite la rentrée, et l'année de scolarité. Mais, nous sommes à la mi-juin, je te demande de travailler jusqu'à la fin du mois de juillet, et tu te reposeras au mois d'août. Ton examen est le douze septembre tu auras le temps de réviser quelque jours.
Sylvie s'était tenue en retrait de la conversation.
- Te rends-tu compte de l'opportunité, dit-elle, et si tu n'es pas prête et que tu rates ton concours, tu repars pour une nouvelle année de préparation. Et soit dit en passant je pense que tes fesses risquent d'en souffrir encore plus.
- Mais maman je suis épuisée.
- Je sais ma chérie, mais tu te reposeras au mois d'août., encore un mois et demi et après un mois de repos.
- Non, je veux mes deux mois de vacances, déclara Valérie.
- Arrêtes tes caprices, sinon tu vas avoir des problèmes ! lui dit Marc.
- Je ne veux plus rien entendre, j'arrête d'étudier jusqu'à début septembre, insista la jeune femme avec aplomb et détermination.
- C'est ton dernier mot, Valérie ?
- Oui !!! Dit Valérie.
- Ok, Paul, Sylvie, je vais vous demander de nous excuser, mais ma fiancée et moi devons avoir une petite explication, dit-il en se levant de table.
- Faites donc." lui répondit Paul.
Marc tira Valérie par le bras, pour l'obliger à se lever de table pour le suivre :
" Non, Marc, avec toi, tout finit toujours de la même façon pour mes fesses !
- Tu n'as qu'à être raisonnable, et tant que tu ne le seras pas, c'est moi qui vais t'y obliger.
- Papa, maman, dites lui cette fois-ci qu'il ne me fesse pas, supplia Valérie.
- C'est ton précepteur et ton fiancé, donc tu te débrouilles avec lui. Mais dis-toi bien, que je suis de son avis.
- Aller, viens dans ta chambre, ordonna Marc, et si tu me fais attendre, encore, je prends le martinet.
- Non Marc, pas ça, s'il te plaît.
- Alors tu montes immédiatement !
- Oui Marc." dit-elle en le suivant.
Une fois dans la chambre, Marc mit son pied sur une chaise, attrapa Valérie et la mit sur son genou. Elle ne touchait pas le sol, et elle pleurait de se retrouver ainsi punie comme une petite fille.
" Non Marc , pas comme ça.
- Depuis quand c'est toi qui décide de ta punition.
- Ben euuuh !!!!! Bafouilla-t-elle.
- Donc nous sommes d'accord !"
A ce moment il passa doucement la main sur les fesses de Valérie, toujours recouvertes de sa culotte. Il se mit à frapper avec une vigueur qui surprit Valérie, qui pleurait de plus en plus.
" Je sais qu'avec Marc, notre Valérie atteindra ses buts," dit Paul en entendant de la salle à manger la fessée que recevait sa fille. Sylvie le regarda en souriant. Après une bonne trentaine de claques dans cette position plutôt inconfortable, pour la jeune femme qui pleurait de plus en plus, Marc la reposa sur le sol, et malgré sa culotte les fesses lui chauffaient énormément. Elle allait s'approcher de son fiancé pour un petit câlin, quand celui-ci la repoussa:
" Ta punition n'est pas terminée, baisses ta culotte maintenant !
- Non Marc, s'il te plaît, j'ai vraiment très mal, tu n'y vas pas doucement quand tu me fesses !
- Valérie ne discutes pas, baisses ta culotte.
- Non Marc. Supplia-t-elle.
- Tu as le choix : ou tu baisses ta culotte toi-même ou c'est moi qui le fait, auquel cas, je descends chercher le martinet, et je ne pense pas que cela te plaise."
La jeune femme baissa sa culotte, sans répondre. Marc l'attrapa sous son bras ( position qu'elle détestait ) et lui flanqua une bonne cinquantaine de claques bien sonnantes sur les fesses déjà bien rouges de Valérie, qui tressautait d'un pied sur l'autre , tant la douleur était violente, elle criait de plus en plus. Après la fessée, Marc pris Valérie dans ses bras, et lui demanda.
" As-tu enfin compris ce que j'attends de toi ? Pourquoi faut-il toujours que tu insistes jusqu'à en arriver au point d'avoir les fesses rouges et douloureuses, puisque tu sais que tu finis par céder de toutes façons, on dirait vraiment que tu aimes ça !
- Nooon ! répondit la jeune femme qui continuait à pleurer dans les bras de son homme.
- Alors quand je te dis quelque chose et que j'insiste pour que tu le fasses, ne m'oblige pas à utiliser ce moyen là pour te faire obéir ! Je ne le fais pas de gaieté de cœur, tu sais ?
- Maaiiis....
- Tu veux retourner sur mes genoux, Valérie ?
- Nooooonnn !
- Donc sur ce sujet, tu m'écoutes, je veux ce qu'il y a de mieux pour toi ! Et tu le sais très bien ! Donc, concernant ton cursus, tu ne discutes jamais, je dis bien : jamais mes décisions ! C'est clair ?
- Ouiiii, mon chériii.
- Vas te mettre au coin, tu l'as bien mérité ! Si tu veux voir de quel bois je me chauffe, tu vas être très bien servie !
- Non, mais c'est bon !"
Marc s'approcha de la jeune femme qui s'était mise face au mur, plaça sa main gauche sur son bas ventre, juste au-dessus du pubis pour la maintenir, et lui assena une dizaine de claques monstrueuses sur ses pauvres fesses déjà meurtries. Celle-ci criait sous la brûlure de cette fessée non prévue.
"La prochaine fois, tu feras attention à ta façon de me parler ! expliqua Marc.
- Je suis désolééééééeee !
- Je n'en doute pas ! Maintenant, tu ne bouges plus et tu te tais !"
Valérie avait saisi le message et n'insista pas. Décidément, Marc ne lâcherait rien, malgré la relation sentimentale qu'ils avaient. Il fallait qu'elle s'en souvienne une fois pour toute ! Elle venait de payer le prix fort de sa désinvolture. Elle se jura qu'elle ferait attention dorénavant. Elle savait aussi que ce serait difficile, compte tenu de son propre caractère. Lorsque Marc la libéra, elle s'allongea sur son lit et pleura doucement. Son homme vint la consoler : "Pourquoi tu es si méchant avec moi ? demanda-t-elle.
- Parce que je t'aime et que je ne te laisserai pas sombrer dans la médiocrité ou la paresse."
Valérie se retourna et embrassa son homme passionnément qui le lui rendit tout aussi passionnément.
A SUIVRE.
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