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Les jeux innocents de Valérie (23)

Gérard gare la BMW grise devant la grande demeure, où chaque matin, il attend Coralie pour l'emmener au  travail. La jeune femme apparut dans l'embrasure de la porte. Elle regarda sa montre, et monta en voiture, sans dire un mot, à côté de Gérard qui démarra le véhicule, et pris la direction de Paris. Le début du trajet se fit sans un mot, quand, en arrivant aux portes de Paris, la circulation se fit plus dense, ce qui mit Coralie en colère. Elle s'en prit forcément à la seule personne qui pouvait l'entendre.  Et se fut le pauvre Gérard, qui en prit plein les oreilles. Car forcément, c'était de sa faute. Il aurait dût prendre une autre route. Jusqu'au moment ou Gérard, qui n'avait, pas encore dit un mot, la laissant soliloquer, d'un seul coup la fit taire.   

" Maintenant, Coralie ça suffit.!! dit Gerard en colère. Tu n'as pas arrêté une minute de ronchonner depuis que nous sommes rentré dans Paris. Je ne veux plus t'entendre.      

- Mais Gérard, pourquoi me parles tu comme ça ? demanda Coralie.      

- Que t'ai je dis Coralie. Insista Gérard. Veux-tu que je te déculotte, dans la voiture, là, tout de suite ? 

- Non Gérard, dit la jeune femme.          

- Alors tais-toi, cela vaudra mieux pour toi. Coralie !!" 

Ils arrivèrent enfin, devant le travail de la jeune femme, celle-ci descendit de la voiture, c'est ce moment que choisit Gerard, pour l'avertir.      

" Coralie je te préviens que ce soir nous aurons une explication au sujet d'une décision que j'ai prise.    

- Que se passe t-il, Gérard. Est ce que notre relation risque d'en souffrir ?    

- Non Coralie, il ne s'agit pas de ça, tu verras bien.  

- Mais.... S'inquiéta la jeune femme.

- Bonne journée, ma chérie, à ce soir." lui dit Gérard l'embrassant.    

Coralie sortit du véhicule avec des interrogations quant aux décisions qu'avaient prises Gérard.       

Toute la journée, comme d'habitude, elle fut désagréable avec ses collaborateurs. La journée de travail finie,  Gérard vint chercher Coralie pour la ramener, comme chaque soir, chez ses parents. Mais ce soir là, il ne s'arrêta pas devant l'entrée principale, mais devant l'entrée de la dépendance où résidait le chauffeur.

"Entre, ordonna Gérard à Coralie. Installe-toi dans le salon et attends-moi."

Celle-ci obéit sans réfléchir. Elle voyait bien que Gérard n'était pas d'humeur à supporter la moindre contrariété. Elle savait très bien où étaient les limites de son homme, et les dépasser n'était vraiment pas une bonne idée.    

Gérard revint dans le salon avec un sac et un plateau sur lequel se trouvait une cafetière, deux tasses et quelques biscuits dans une soucoupe qu'il posa sur une table basse devant Coralie. Celle-ci ci lui sourit, mais resta inquiète de savoir ce qui se trouvait dans le sac posé à côté du canapé où ils étaient assis. Ils parlèrent à bâton rompu tout en buvant leur café et grignotant quelques biscuits, jusqu'à ce que Gérard en revienne à la conversation du matin.   

"Coralie, ce qui s'est passé ce matin et la façon dont tu traites tes collaborateurs, n'est plus acceptable. Étant donné que tu te comportes comme une gamine capricieuse, tu vas être punie comme telle. 

- Maiiiiis  Gérard, tu ne vas pas encore me donner la fessée, hein ?   

- Non seulement tu va prendre une bonne fessée, mais avant cela tu va prendre ce sac, et tu vas te changer.    

- Mais... tenta la jeune femme.

- Immédiatement ! renchérit Gérard, qui commençait à s'impatienter.   

- Bien, j'y vais." Coralie vit qu'il valait mieux obéir. Elle se rendit donc dans la chambre, ouvrit le sac, et très étonnée, elle en sortit les vêtements  qui s'y trouvait. A sa grande surprise, elle commençait à avoir des papillons dans le ventre. 

" Alors ça vient, Coralie. S'impatienta Gérard.  

- Oui." répondit la jeune femme, peu rassurée de ce qui l'attendait. Elle sortit de la chambre, habillée en petite fille ou plutôt façon écolière sortie du pensionnat, très gênée, mais aussi très troublée.    

" Tu es sûr que tu veux que je m'habille de la sorte ?   

- Tu agis en gamine, donc tu t'habilles en gamine. Maintenant vas dans la salle de bain, tu trouveras deux élastiques. Puisque tu es une petite fille, tu vas te coiffer en petite fille. Tu vas te faire des couettes."  

Coralie obéit, de plus en plus inquiète, mais de plus en plus excitée malgré elle. Elle revint dans le salon, un peu honteuse. Avec ses couettes, sa mini jupe, son chemisier blanc, ses socquettes blanches, et ses soulier plat vernis.  

" Eh bien !! En voilà une jolie petite fille ! s'exclama son homme.       

- Gérard je t'en prie, ne te moques pas de moi ainsi, supplia la jeune femme.     

- Pourquoi ? Tu te moques bien des autres, toi, vu la façon dont tu traites tes collaborateurs, tes amis et moi même. Maintenant, Coralie tu vas venir t'allonger sur mes genoux, comme une vilaine petite fille." 

La jeune femme s'approcha doucement, honteuse, inquiète, mais toujours aussi excitée, sa culotte arborant déjà une jolie petite tache. Gérard tira la jeune femme et la pencha sur ses genoux. Il commença alors la fessée par quelques claques sur la mini jupe. Il s'arrêta pour lui expliquer : "Maintenant, ma chérie, tu va prendre une fessée, une vraie, dont tu vas te souvenir, mais as-tu compris le pourquoi de cette fessée ?

- Oui Gérard, c'est parce que je suis devenu méchante et agressive avec tout le monde.     

- Penses-tu mériter cette punition ?

- Oui Gérard." répondit la jeune femme au bord des larmes. Il souleva sa jupette, donna une dizaine de claques sur la jolie culotte blanche de Coralie, qui commençait à avoir bien chaud à son postérieur. Il tira la culotte jusqu'aux genoux, et il lui indiqua qu'il commencerait par une série de cinquante. La jeune femme protesta que cinquante claques, c'était trop.    

" Je peux doubler si tu veux.     

- Non c'est bon ! dit la jeune femme.   

- Bien" Il se mit à frapper les fesses de Coralie avec une très grande vigueur, la jeune femme, pleurait, et gigotait sur les genoux de son homme. Après les cinquante claques, Coralie pleurait de plus belle. Mais elle n'en était pas moins excitée, et elle avait honte de cela. Elle espérait que Gérard ne s'en apercevrait pas.     

" Va te mettre au coin maintenant, les mains sur la tête, face au mur !" La jeune femme pleurait de plus en plus. Gérard n'était pas dupe. Il savait qu'il y avait une partie de comédie dans les pleurs de sa bien-aimée. Elle sentait, en plus de la brûlure de ses fesses, son sexe couler doucement. Sa plus grande peur serait que son homme le voie.

" Ça suffit, calme toi, Coralie. Tu as reçu de pires !" La jeune femme, pleurait de plus en plus. Gérard comprit que la jeune femme tentait de l'amadouer. Il allait lui prouver qu'elle n'y parviendrait pas. Il lui colla une dizaine de claques bien sonnantes sur les fesses déjà très douloureuses. Après dix minutes de coin, Gérard la fit venir, et l'embrassa tendrement. Il la reprit sur ses genoux, pour lui mettre de la pommade calmante, et pendant qu'il la massait, la jeune femme se mit a jouir sur le pantalon de son homme. Il la retourna et l'embrassa fougueusement. Il rajouta : "Dorénavant, je serai là pour te remettre dans le droit chemin chaque fois que nécessaire, sois en sûre !

- Oui, mon chéri." répondit-elle, non sans dissimuler un désir qui revenait. Le reste de la soirée allait s'avérer fort agréable...


A SUIVRE



 



 

  

     




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