"Bien, dit Valérie aux filles qui sortaient de la douche. Il y a quelque chose que je dois vous dire avant que vous vous habilliez. Votre intimité doit être imberbe, lisse de chez lisse.
- Mais pourquoi ? Demanda Isabelle.
- Ici, vous n'êtes plus les adultes que vous prétendez être, mais des ados tout juste sorties de l'enfance, votre éducation est à refaire et nous allons nous y employer. Donc je vois que certaines d'entre vous sont déjà lisse, pour les autres, vous avez un quart d'heure. Si vous avez besoin d'aide, appelez-moi. A partir de demain des inspections pourront avoir lieu. Toute dérive sera punie. Rappelez-vous que si vous respectez ce qu'on vous demande, vous n'avez rien à craindre. Il y a des règles qui sont là pour votre bien, respectez-les, cela ne durera que le temps que vous atteigniez vos objectifs. Après vous serez libre de faire ce que vous voulez et de faire vos choix. Allez, dépêchez-vous."
Trois des filles repartirent dans les douches pour se raser leur intimité. Une fois fait, elle revinrent et revêtirent leur tenue. Valérie les vérifia et fut satisfaite du résultat.
"Bien, vous avez quartier libre jusqu'au dîner à dix-neuf heures trente. Je vous conseille de bien relire le règlement. Celui-ci est affiché de façon complète sur le mur du hall. Je vous en conjure, pour votre bien, lisez-le et intégrez-le, cela vous évitera bien des problèmes. A toute à l'heure." Et elle sortit du dortoir laissant les quatre élèves seules.
"Eh, commença Victorine, on va pas subir tout ça, quand même ?
- C'est pas toi qui a signé la première ? demanda Lara.
- Ouais ben, je vais pas rester longtemps ici, si ça continue comme ça !
- Et tu iras où, hein ? Retorqua Isabelle. Moi, je reste, et je vais tout faire pour éviter les emmerdes !
- Tu es déjà dans la merde, dit Victorine.
- Visiblement pas autant que toi !
- Eh ! On se calme, intervint Aline. Je ne suis peut-être pas la plus sage de nous toutes, mais j'ai dit que je tenterai le coup, ne serait-ce que pour ne plus avoir ma mère sur le dos. Alors, au moins, je vais essayer. Faites ce que vous voulez, mais je vous conseille de ne pas me pourrir la vie ou je ferai des vôtres un enfer !
- Ouais, c'est bon, ça va, lâcha Victorine. Allons plutôt lire ce règlement, alors."
Elles descendirent dans le hall et se postèrent devant le fameux règlement.
"Putain ! Dit Lara, on se croirait en prison.
- Non, en prison, tu ne prends pas de fessées ! Et on ne t'obliges pas à te raser la chatte ! On est où, là, bordel ?
- Je ne sais pas, dit Isabelle, mais ça pue ! C'est pas bon, c'est pas bon...
- Eh bien les filles ? Il y a un problème ? S'enquit Marc qui les observait depuis un moment.
- Eh merde, chuchota Lara.
- Non, monsieur, s'empressa de répondre Isabelle, aucun problème. On lisait le règlement complet pour éviter de faire des bêtises.
- C'est une bonne idée." Répondit Marc.
L'heure du repas approchait. Il allait avoir lieu en présence de toute la famille d'origine et des quatre nouvelles élèves. Gérard et Coralie allaient les découvrir au même titre que Paul. D'ailleurs, ce dernier allait préciser un certain nombre de choses. Les filles arrivèrent ensemble et en bon ordre. Valérie leur indiqua leur place mais ne leur permit pas de s'asseoir tout de suite. Tout le monde était debout derrière sa chaise respective.
"Bonsoir mesdemoiselles, je suis Paul Vautier, et je suis le propriétaire des lieux. A ce titre, je vous présente Mademoiselle Coralie er Monsieur Gérard. Vous n'aurez, normalement pas affaire à eux, sauf en matière de sécurité, qui est la prérogative de Monsieur Gérard. Nous dirons que c'est le gendarme de la propriété. Je vous conseille vivement d'éviter de le déranger pour rien. Quand à Mademoiselle Coralie, quand elle sera présente, elle pourra signaler tout fait chaque fois qu'elle le jugera utile. Mais elle aura un autre rôle, celle de vous soutenir psychologiquement et ce, en toute discrétion. Les conversations que vous aurez avec elle seront confidentielles. N'hésitez pas à la solliciter si vous en ressentez le besoin. Je vais aborder un point important pour nous comme pour vous. Bien que vous ayez vos familles, nous vous considèrerons comme nos propres filles le temps que vous resterez parmi nous. Cela signifie que nous vous élèverons comme tel et que nous vous inculquerons nos valeurs selon nos méthode dont vous avez pu prendre connaissance, au moins sur le papier. Ceci a été discuté avec vos familles. Si vous êtes parmi nous, c'est que vous êtes en difficultés, soit scolaires, soit comportementales. Pour trois d'entre vous, il y a des problèmes de comportement. Pour la quatrième, il s'agit plutôt d'un manque de confiance, à confirmer. Vous devrez donc suivre nos consignes à la lettre, sans quoi, il vous faudra en assumer les conséquences qui pourraient être cuisantes pour vos fesses. Vous êtes prévenues. Je vais laisser la parole à Monsieur Gérard pour quelques rappel.
- Merci Paul. En effet, vous le savez déjà, il vous est strictement interdit de quitter la propriété. Celle-ci est assez grande pour ne pas vous y sentir trop enfermées. Pour votre sécurité, cette règle est stricte. Toute infraction sera très sévèrement punie. D'autre part, je ne veux voir personne en dehors du dortoir au-delà de vingt deux heures. Là aussi, toute infraction serait cuisante pour vos fesses. Le dortoir sera surveillée par moi-même et Mademoiselle Coralie. Je vous conseille vivement d'être sage si vous ne voulez pas avoir à dormir sur le ventre. D'un point de vue communication avec l'extérieur, il vous est interdit de communiquer avec qui que ce soit pendant le premier mois de votre séjour ici. Si il y avait une urgence, vous aurez la possibilité de communiquer avec votre famille uniquement, avec notre autorisation préalable. Vous aurez un ordinateur en libre service pour écrire des mails à une adresse choisie à l'avance et déjà paramétrée. Toute autre destinataire sera rejeté. C'est l'adresse mail de la personne qui vous a accompagné. L'ordinateur ne sera accessible que pendant vos heures de liberté. Je crois avoir fait le tour. Marc ?
- Oui, merci, Gérard pour ces précisions. En ce qui me concerne, les cours auront lieu de neuf heures le matin à seize heures le soir. Vous aurez deux heures entre midi et quatorze heure pour manger et digérer. Je n'aime pas les retards, souvenez-vous en ! Sylvie ?
- Merci, Marc. Pour moi, vous aurez deux heures de cours de discipline de seize heures trente à dix-huit heures trente. Comme pour Monsieur Ménager, soyez à l'heure. Valérie ?
- Euh oui, fit cette dernière. Après le repas du soir, vous aurez quartier libre jusqu'à vingt et une heure trente et ensuite préparation pour vous coucher, extinction des feux à vingt deux heures. Votre emploi du temps de la journée sera affiché en dessous du règlement dans le hall. C'est tout pour moi.
- Bien, reprit Paul. Tout est dit. Un dernier détail : Mesdemoiselles Coralie et Valérie sont mes filles. Elles ont été élevées comme vous allez l'être. Elles ont réussi, vous aussi, vous réussirez. Sur ce, vous pouvez vous asseoir, bon appétit."
Aucune des filles n'osa s'asseoir la première. C'est Valérie que le fit la première et tout le reste des convives suivit, sauf Coralie qui assurait le service, ce soir. Le repas était délicieux et en quantité suffisante. Les quatre élèves ne mourraient pas de faim et se régalaient, elles durent bien l'admettre.
Le repas se déroula dans un silence relatif, les filles avaient compris qu'il ne valait mieux pas la ramener dès le premier soir. Une fois le repas terminé, celle-ci montèrent dans le dortoir, accompagnées par Valérie.
"Vous avez vos pyjamas dans vos armoires. Pas de sous-vêtements sous le pyjama, c'est interdit. Et vous ne dormez pas nues non plus. Si vous voulez prendre une douche avant de vous coucher, vous pouvez. Une fois en pyjama, vous pourrez descendre au salon pour échanger avec nous si vous le souhaitez jusqu'à vingt et une heure trente. Vous pourrez aborder tous les sujets sans tabous aucun. Ce moment est aussi un espace où la parole est totalement libre."
Cette première soirée se passa sans anicroche et tout le monde fut sage. Ce fut donc dans la quiétude que les lumières s'éteignirent sur la grande demeure.
La lumière s'alluma à six heures trente le lendemain matin dans le dortoir. Lara fut la première à se réveiller. Elle se leva et réveilla les trois autres. Victorine fut celle qui eut le plus de mal à ouvrir les yeux. Isabelle se leva et courut aux toilettes puis alla prendre sa douche de même qu'Aline. Les deux autres filles suivirent avec beaucoup moins d'entrain. Isabelle et Aline furent donc aussi les première à être habillées, firent leur lit, et rangèrent leur boxes. Un quart d'heure plus tard, toutes les filles étaient enfin prêtes et attendaient sagement sur leur lit. C'est à ce moment là que Valérie fit son entrée dans le dortoir.
"Bonjour Mesdemoiselles, je vais faire une première inspection de vos boxes et de vous même ensuite. Après cela, vous pourrez aller déjeuner. Exceptionnellement ce matin, les cours commenceront par une heure de discipline, heure que vous n'aurez pas ce soir, par conséquent."
Elle passa en revue les boxes et souleva quelques couvertures pour inspecter les draps. Un des lits retint son attention, mais n'en dit rien. Elle refit chacun des lits qu'elle avait inspecté. Elle contrôla la tenue des filles une par une soigneusement. Rien à noter de ce côté là.
"Très bien, vous pouvez aller déjeuner, sauf Lara, tu restes avec moi." Isabelle, Aline et Victorine sortirent du dortoir. Valérie qui soupçonnais quelque chose s'adressa à Lara de manière très douce :"As-tu un problème dont tu veux me parler, Lara ?
- Euh, non, Mademoiselle.
- Bon, est-ce que tu peux m'expliquer la petite auréole sur tes draps ? Je veux juste savoir si tu n'es pas malade, d'accord ? Nous tenons à votre santé.
- Non, non, tout va bien.
- Ok, Lara, tu ne souffres pas d'incontinence nocturne ?
- Non, pas du tout.
- Bien donc, c'est bien ce que je crois, tu t'es caressée, n'est-ce pas ?
- Euh ... oui, Mademoiselle, je vous demande pardon, je ne savais pas que c'était interdit.
- Cela ne l'est pas, je te rassure. Mais tâche de faire en sorte qu'il n'en reste pas de trace, d'accord ?
- Oui, Mademoiselle.
- Allez, file déjeuner.
- Merci Mademoiselle."
L'épisode fit sourire Valérie. Une sexualité épanouie est une bonne chose aux yeux de la famille Vautier, pas question de la réprimer, mais pas question non plus que ce soit trop ostensible.
Après le déjeuner les filles rejoignirent la salle de cours où Sylvie les attendait, ainsi que Valérie. Les filles s'assirent derrière leur bureau respectif. Sylvie les regarda sévèrement. Elle se relevèrent immédiatement et attendirent l'autorisation de s'asseoir.
"Asseyez-vous Mesdemoiselles. Ceci est votre premier cours de discipline. Je vais vous rappeler ce qu'est la discipline : c'est un ensemble de deux choses. Des règles et des sanctions qui découlent du respect ou du non respect de ces règles. Par exemple, vous savez qu'une des règles du code de la route est que vous devez vous arrêter à un feu rouge. Si vous ne respectez pas cette règle, vous risquez une amende. C'est la sanction. Une sanction peut aussi être une récompense. En sport par exemple, si vous gagnez une compétition, vous remportez une médaille. Le terme sanction regroupe donc à la fois la récompense et la punition. Dans cet établissement aussi, il y a une discipline, des règles et des sanctions. Vous le savez maintenant, l'une de ces sanctions est la fessée. Pourquoi avons-nous choisi cette méthode ? Car elle est efficace. Recevoir une fessée est non seulement douloureux mais aussi humiliant et infantilisant. Qui d'entre vous a déjà reçu une fessée ?"
Aucune des filles ne leva la main, mais Aline intervint :"Moi, ma mère, elle n'arrête pas de me gifler pour un oui ou pour un non.
- Et c'est efficace ?
- Non, je n'accepte pas qu'elle me gifle. C'est juste qu'elle ne m'aime pas.
- Je crois que tu te trompes, par contre, la gifle, c'est très maladroit, car elle est donnée sous la colère. Une punition doit être donnée dans le calme et en expliquant pourquoi on a droit à cette punition. D'après toi, si elle t'avait expliqué pourquoi tu avais pris la gifle, l'aurais-tu mieux accepté ?
- Pas une gifle, mais si je sais pourquoi je suis punie, oui, je peux l'accepter. Mais on m'explique jamais, à moi.
- Donc aucune de vous n'a reçu de fessée ? Bien. Donc aucune de vous ne sait réellement ce que c'est. C'est le but de ce cours. Je vais vous administrer à chacune une fessée légère pour vous faire prendre juste conscience de ce à quoi vous vous exposerez en cas d'infraction au règlement. Celle-ci ne sera pas bien douloureuse, mais elle vous montrera ce qui pourrait vous arriver si vous envisagez de faire des bêtises. Cette fessée que je vais moi-même vous donner n'est pas une punition en soi, juste une prévention pour vous éviter de plus gros ennuis. Mais cette fois, je vais vous donner le choix de la recevoir ou non. Vous pouvez dire non et attendre de recevoir votre première punition lors de votre première bêtise ou alors, vous préférez savoir ce qui vous attend si vous faites une bêtise. Je vais donc poser la question à chacune d'entre vous. Aline, puisque tu as eu le courage de t'exprimer, veux-tu essayer ?"
La jeune femme regarda ses camarades qui restaient bouche bée devant une telle proposition. Elle ne savait pas quoi dire. Prendre une fessée, juste comme ça, sans raison, même si, soi-disant, elle ne devait pas faire bien mal. Elle n'avait jamais été fessée de sa vie, même gamine. Des gifles, oui, et ça, ça faisait vraiment mal et en plus elle en voulait à sa mère de les lui avoir mises sans aucune explication. Au moins, cette fessée, elle avait le choix. Pour une fois, elle avait le choix, elle pouvait décider.
"D'accord, Madame, j'accepte, même si je n'ai rien fait pour la recevoir, je veux savoir ce que ça fait." dit la jeune élève.
Valérie attrapa une chaise et la plaça devant le bureau de Sylvie. Cette dernière se leva de son bureau et vint s'asseoir sur la chaise.
"Approche, Aline." Celle-ci s'approcha de Sylvie, et se mit face à elle. La directrice dégrafa la jupe d'Aline qui tomba instantanément à ses pieds. La jeune élève se retrouva juste en culotte et bien sûr, le haut habillé.
"Penche toi sur mes genoux, installe-toi du mieux que tu peux. Mesdemoiselles, voici la position standard pour recevoir une fessée. Comme vous le constatez, Aline porte toujours sa culotte. Sachez que pour une punition, il est tout à fait probable qu'elle descende assez vite. Toutefois pour cette première fessée, Aline va la garder un peu. Tu es prête, Aline ?
- Oui, Madame." Dit-elle sans grande conviction. Sylvie leva son bras et commença à frapper assez doucement les fesses d'Aline par-dessus la culotte. Ce n'était pas vraiment douloureux, même si c'était désagréable, au moins au début. Mais en fait, pas tant que ça, bien moins qu'une gifle. Mais plus le temps passait et plus la chaleur sur les fesses augmentait. C'était normal, Sylvie commençait à frapper plus fort. Puis, elle s'arrêta. Elle expliqua : "Une vraie fessée se donne sur les fesses nues." Et elle baissa la culotte d'Aline. Elle recommença à la fesser avec une force très modérée. Malgré tout, ça piquait fort et les larmes montèrent aux yeux de la jeune étudiante. Mais cela ne dura pas longtemps. Sylvie libéra Aline et lui permit de se rhabiller. Elle retourna s'asseoir, le visage un peu rouge et les fesses un peu brûlantes.
"Quelqu'un d'autre souhaite essayer ?" Demanda Sylvie.
Les jeunes filles questionnèrent Aline du regard. Cette dernière hocha la tête ce qui signifiait que c'était supportable.
Victorine était une dure à cuire, ce n'est pas une fessée qui l'arrêterait, elle en avait vu d'autres, son père l'avait suffisamment battue, et elle avait avait eu plus de bleus que toutes les filles réunies ici n'en auraient jamais. Alors une simple fessée, même si elle n'y avait jamais goûté, ne pouvait pas être pire que les coups de son père.
Elle s'approcha de Sylvie et s'allongea sur ses genoux. Comme pour Aline, la fessée commença sur la culotte sous les yeux des trois autres élèves. Victorine ne se sentait pas aussi à l'aise qu'elle l'aurait pensé, c'était beaucoup plus humiliant. Les coups de son père, elle les prenait comme une haine. Là, il n'y avait pas de haine, juste une punition, même si elle n'avait rien fait. Depuis qu'elle était ado, c'était la douleur qui la faisait pleurer, là, c'était l'humiliation qui lui faisait monter les larmes aux yeux, bien plus que la douleur. Elle se sentait impuissante. Quand sa culotte descendit, découvrant ses fesses déjà un peu roses, ce fut pire. Elle ne put se retenir de pleurer, c'était une situation qu'elle ne connaissait pas, qu'elle n'avait jamais connue. Une fois la fessée terminée, elle retourna à sa place avec un esprit un peu perturbé.
Il restait Lara et Isabelle. Lara n'avait pas envie de tester la fessée, elle estimait qu'elle en prendrait une bien assez tôt et si par miracle elle n'en prenait pas, ça lui irait très bien. Pour Isabelle, les choses étaient un peu différentes. Voir Aline et Victorine se faire fesser avait provoqué des sensations contradictoires chez Isabelle. Certes, ça lui faisait peur, mais en même temps elle ressentais des choses inavouables et elle sentait qu'elle avait mouillé sa culotte. En fait oui, elle avait peur de se retrouver sur les genoux de Sylvie, mais elle en avait envie aussi. Alors elle se leva timidement et s'approcha de Sylvie puis se mit en position.
La fessée commença de façon légère. Isabelle ne trouva même pas ça désagréable, ça l'excitait, mais ne le montra pas. Mais Sylvie n'en fut pas dupe, et vit la tache au fond de la culotte de la jeune étudiante. Elle la lui baissa et reprit le fessée de façon nettement plus appuyée. Ce n'était plus la même chose pour Isabelle. La main de Sylvie faisait mal, et ses fesses commençait à brûler. Elle était au bord des larmes. Puis la fessée s'arrêta, juste avant qu'elle ne craque. Elle se rhabilla et se rendit compte que son sexe était trempé. Cela lui procurait cette sensation étrange, entre douleur et plaisir.
"Bien, fit Sylvie, trois d'entre vous on pu sentir ce qu'était une fessée légère. Les prochaines que vous prendrez ne le seront pas autant. Tâchez de les éviter, n'est-ce pas ?" Personne ne dit rien. Sylvie continua son cours jusqu'à la fin de l'heure. Elle libéra les filles, un autre cours, avec Monsieur Ménager, cette fois, allait commencer et toutes les filles appréhendaient un peu.
A SUIVRE...
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