Aujourd'hui huit septembre, c'est le grand jour dans la famille Vautier. Valérie passe son examen d'entrée, à l'université des sciences. C'est tout de même un établissement de renom. Ce fut une année difficile, à tout point de vue. Reprendre ses études, surtout quand on a arrêté trop tôt, il lui fallait bien gagner sa vie, n'était pas chose aisée. Marc Ménager, précepteur de son état, avait coaché la jeune femme pour cet examen. Malgré son bon niveau en mathématiques et en sciences, ses lacunes étaient nombreuses. Valérie doutait de pouvoir y arriver et l'envie d'abandonner lui traversait très souvent l’esprit. Son précepteur qui se trouvait être également l'homme qu'elle aimait, veillait à ce que cela n'arrive pas. Dans ces moments où le désespoir était trop fort, Valérie faisait des bêtises que Marc corrigeait immédiatement, histoire de ne pas laisser la jeune femme se perdre dans ses délires. Certaines dérives étaient sanctionnées par une bonne fessée, et instantanément, Valérie reprenait ses esprits et ses notes remontaient systématiquement.
La jeune femme très stressée, avait l'impression de ne plus rien savoir de ce qu'elle avait si durement acquis durant cette longue année. Pendant le trajet qui la menait sur les lieux de cet examen, Marc, qui avait laissé ses élèves à Sylvie pour la journée, s'évertuait à aider sa fiancée à reprendre confiance en elle, tout en lui dissimulant son propre stress. Ils arrivent devant l'université, lieu ou Valérie allait devoir passer les deux prochaines années, si elle obtenait ce fameux "sésame," pour lequel la jeune femme avait tant travaillé, surveillée de près par Marc. Elle savait très bien que pendant ses années d'université, il allait la cadrer avec beaucoup plus de sévérité. Cette éventualité l'inquiétait et la rassurait en même temps. Mais pour l'heure, il lui fallait passer cet examen.
" Je vais t'attendre à la coupure de midi, on ira manger ensemble, car il faut que tu déjeunes à midi, avant de reprendre la deuxième partie de ton examen. As-tu ta convocation et ta carte d'identité ? lui demanda Marc
- Oui Marc." Répondit la jeune fille. Elle l'embrassa avant de quitter la voiture et de rentrer dans l’établissement où allait se dérouler l'examen.
A l’intérieur, elle aperçut plusieurs autres postulants qui allaient, comme elle, passer l'épreuve. Elle avisa un groupe d'une dizaine d'étudiant, et se mêla à eux pour leur parler.
" Bonjour, leur dit-elle. Je suis Valérie, vous êtes là également pour l'examen d'entrée ? leur demanda t-elle.
- Oui, toi aussi ? lui demanda l'un des jeunes.
- Oui et j'ai l’impression de ne plus rien savoir, lui répondit Valérie.
- T'inquiète, ça fait toujours ça avant de passer un examen, mais devant ta feuille tout te revient." lui répondit une jeune fille. Un homme sortit de l’amphithéâtre avec une liste de nom à la main et un stylo, et parla assez fort, de façon à être entendu dans tout le hall d'entrée.
- Que les personnes qui viennent pour passer l'examen d'entrée, s’avancent vers moi avec leur convocation et leur pièce d’identité."
Les candidats entrèrent dans l’amphithéâtre, Valérie regarda cette grande salle, et elle trouva cela impressionnant. Elle chercha le numéro de sa place, qu'elle trouva assez rapidement et s'installa.
Dans chaque rangée on distribua les épreuves, Valérie attendit que le surveillant leur dise de retourner les copies. Sur les indications de celui-ci Valérie regarda son sujet.
"Vous avez trois heures pour cette première épreuve." Leur dit un des surveillant.
Un léger sourire se dessine sur ses lèvres, elle commença son épreuve, cela lui sembla assez facile. Et elle se mit à rédiger, sans s’arrêter. Après deux heures quarante cinq, Valérie avait terminée son épreuve. Elle se leva, rendit sa copie au surveillant et sortie de l’amphithéâtre, dans le hall, elle fit les cent pas, histoire de décompresser. Valérie prit son téléphone portable pour appeler Marc.
"Allo, mon chéri, ça y est, j'ai fini l'épreuve un quart d'heure avant la fin.
- Très bien, as-tu pris le temps de bien relire ?
- oui ne t’inquiètes pas répondit la jeune femme.
- Retrouves moi à l’extérieur, nous allons déjeuner, ensemble."
Ils déjeunèrent en parlant un peu de l'épreuve, mais pas trop. Il restait celle de l'après-midi, et ce n'était pas la plus simple. L'heure avançait, il était temps d'y retourner.
"Appelle-moi quand tu sors !
- Oui, bien sûr, répondit la jeune candidate.
- Allez, et sois attentive aux énoncés.
- Mais oui, je sais, j'ai pris assez de fessées à cause de ça !
- Bon courage, ma chérie."
Elle courut vers l'entrée de l'université, elle allait être en retard. Elle arriva juste à temps, les portes de l'amphi se refermèrent derrière elle. Elle reprit sa place. Les sujets de cette nouvelle épreuve étaient déjà en cours de distribution. Elle reçut la sienne, sous enveloppe. Elle devait attendre le signal du surveillant pour l'ouvrir. Celui-ci fut donné quelques minutes plus tard et l'épreuve commença. Les postulants avaient quatre heures pour répondre aux différentes questions. C'était du lourd, du vraiment solide. Le matin, comparativement, c'était de la gnognotte. Cette épreuve rentrait dans le dur des connaissances et des compétences. Valérie commença à douter de ce qu'elle avait appris. Elle aborda la première question. Les questions suivantes découlaient de la précédente donc une seule erreur et toute la suite était morte. Cela demandait une concentration terrible. Cela imposait de vérifier ses réponses par des méthodes différentes et de croiser les résultats. C'était très chronophage.
L'heure tournait et Valérie galérait. Les questions étaient particulièrement complexes et il ne fallait rater aucune information. Elle réussit toutefois à finir cinq minutes avant la fin. Elle sortit de l'amphi épuisée sans savoir si elle avait réussi l'épreuve. Elle était au bord des larmes alors qu'elle appelait Marc.
"Je suis épuisée, sanglotait-elle, je crois que j'ai tout raté, je n'irai jamais à l'université.
- As-tu fait de ton mieux ? s'enquit Marc.
- J'en sais rien, oui, je crois, enfin, j'espère...je sais pluuus..., pleurait Valérie.
- Bon, tu ne bouges pas, je viens te chercher."
Il vint la chercher devant la faculté et l'entraina dans un endroit discret sans rien dire. Une fois à l'abri des regards indiscrets, il la déculotta sans ménagement et lui administra une bonne trentaine de claques assez fortes. Valérie pleura presque dès les premières. Une fois terminé, il la rhabilla et la serra dans ses bras avec tout l'amour qu'il pouvait lui transmettre. "Tu en avais besoin pour relâcher ton stress, lui expliqua-t-il.
- Mais tu m'as fait mal, sanglotait-elle.
- Oui, je sais, c'était nécessaire. Maintenant, ça va aller mieux." De fait, c'est vrai qu'elle se sentait mieux, plus légère, mais ses fesses lui faisaient mal, ça la brulait vraiment beaucoup. Pourtant, des fessées, elle en avait prise. Mais la surprise et l'instant avaient rendu celle-ci particulièrement douloureuse quoique très courte.
Les résultats seraient affichés dans la soirée. On les attendait pour dix-neuf heures. Valérie et Marc décidèrent d'aller boire un verre dans un bar pour tuer le temps. Lorsqu'elle tenta de s'asseoir, cela la fit gémir. Cette fessée avait vraiment des effets dans la durée. C'était tellement douloureux qu'elle sentit les larmes lui monter aux yeux. Elle avait honte aussi de se retrouver dans cette situation. A la maison, personne n'y aurait prêté attention. Ici, elle avait l'impression que tout le monde la regardait. Ce qui était faux bien sûr, mais ce sentiment était bien présent.
L'heure approchait. Marc paya la note du bar et ils se dirigèrent vers la fac. Il y avait des tableaux où étaient affichés les résultats. Toutefois, seuls les résultats des épreuves matinales étaient déjà affichés. Il y avait du retard dans les corrections des copies, visiblement. Malgré tout, elle chercha son nom dans le tableau. Elle finit par le trouver : "Mademoiselle Valérie Vautier .......... admissible." La moitié du contrat était respecté. Elle était reçue aux épreuves du matin. Il fallait attendre les résultats des épreuves de l'après-midi. Elle sentait la pression monter et ses fesses lui faire mal à nouveau à l'idée de la correction qui l'attendait en cas d'échec.
Un homme s'avançait vers les tableau, chargé de feuilles. Il ouvrit les tableaux et afficha les feuilles. C'était les résultats finaux des épreuves. Valérie devenait fébrile. Elle chercha nerveusement son nom. Elle finit par le trouver. Elle s'effondra en larmes. "Mademoiselle Valérie Vautier ........ ADMISE". Elle allait passer les deux prochaines années à la faculté de science. Elle avait travaillé, douté, travaillé encore et aujourd'hui, c'était le prix de ses efforts, elle était reçue. C'était des larmes de joie, d'émotion. Marc la prit dans ses bras et l'embrassa. "Bravo, ma chérie, tu as réussi ! Félicitations !
- Merci à toi de m'avoir soutenu et coaché, même si ce fut douloureux pour mes fesses bien des fois.
- C'est ton travail qui a payé. Tu as été une bonne élève et ce fut un plaisir d'être ton professeur."
Il l'embrassa de nouveau. Ils décidèrent d'aller fêter ça dans un bon restaurant. Marc proposa une adresse. Valérie se laissa guider, submergée par l'émotion d'avoir réussi son examen. Ils dinèrent de bon humeur, Valérie, une fois passé l'émotion était toute heureuse d'avoir réussi. Elle mangea de bon appétit et but un peu trop.
Le restaurant n'était pas n'importe quel restaurant. Les clients étaient tous des initiés, des clients triés sur le volet qui pratiquaient la discipline domestique. Marc avait emmené Valérie ici à dessein. Le couple aimait la fessée, l'un comme l'autre. Lorsque Valérie prenait une fessée, même punitive, quelque part, elle la désirait, au fond d'elle, alors qu'elle la redoutait tout autant. Mais ce goût pour la fessée était bien réel. Lorsque Coralie s'était faite punir la première fois qu'elle était venue chez les Vautier, ça l'avait excitée.
Ils mangeaient tranquillement lorsqu'un couple arriva et était en train de traverser la salle pour rejoindre sa table. En passant à proximité de Valérie, la femme heurta malencontreusement la chaise de cette dernière bousculant Valérie qui fit tomber un peu de nourriture sur son jean.
"Eh mince !" S'exclama Valérie. Mais la femme ne s'arrêta même pas. L'homme prit sa compagne par le bras et l'attira contre lui, puis ils se retournèrent vers Valérie. "Tu pourrais au moins t'excuser, dit l'homme à sa compagne.
- Mais j'ai rien fait, répondit cette dernière.
- Tu te moques de moi ? Tu l'as bousculé et du coup elle s'est tâchée à cause de toi !
- Ce n'est pas grave, intervint Valérie.
- Pardon, Madame... ?
- Valérie Vautier.
- Vous êtes parent avec Monsieur Paul Vautier ?
- En quelque sorte , oui. Je suis sa fille adoptive.
- Donna ! Tu t'excuses tout de suite auprès de mademoiselle Vautier.
- Pourquoi je devrais faire ça ?
- Parce que tu l'as bousculé et elle s'est tâchée. Si tu ne le fais pas, je risque de me fâcher et tu sais ce que ça signifie !
- Tu n'oseras jamais ici , pas devant tous ces gens !
- Ah tu crois ça ?" Il fit un signe à un serveur. Celui-ci s'approcha.
"Que puis-je pour vous, monsieur ? L'homme lui souffla quelque chose à l'oreille. Certes, monsieur, vous aurez peut-être besoin d'une chaise...
- Oui, je vous remercie."
La femme prénommée Donna était vêtue d'un chemisier et d'une jupe qui lui arrivait à mi-cuisse. Elle était très bien proportionnée. C'était assurément une belle femme très séduisante. Par contre, cela semblait être une sacrée peste et elle devinait ce qu'il pourrait se passer, car elle-même aurait bien envie de lui en coller une, mais ça n'arriverait pas ici, elle en était sûre.
"Es-tu prête à t'excuser, Donna ? demanda Eric, le mari de la jeune femme.
- Absolument pas, pourquoi donc ? Elle s'est tâchée toute seule cette maladroite !"
Valérie voulait réagir, mais d'un signe discret, Marc l'en dissuada, elle ne bougea pas et observait la suite des évènement. Eric prit Donna par le bras, il s'assit sur la chaise et s'apprêta à la pencher sur ses genoux, mais soudain il interrompit son geste se releva et regarda Valérie.
"Excusez-moi, mademoiselle ?
- Valérie, répondit-elle.
- C'est vous qui avez été offensée. Peut-être voudriez-vous laver cet affront vous-même ?"
Valérie regarda Marc interrogative. Celui-ci lui fit un geste "Vas-y ! lui dit-il.
- Eh bien, commença-t-elle, j'avoue que ce n'est pas l'envie qui m'en manque, mais ici...
- Ne vous inquiétez, dit Eric, ce lieu est un lieu d'initiés à la discipline et à la fessée. Donna en mériterait-elle une, d'après vous ?
- Ma foi, je dirais oui, mais va-t-elle l'accepter de moi ?
- Bien sûr, elle n'a pas le choix et son attitude envers vous dit clairement qu'elle la désire.
- Eh ! On pourrait peut-être me demander mon avis ! S'exclama Donna.
- Eh bien Donna ? Quel est-il ? demanda Eric.
- Puisqu'apparemment, je n'échapperai pas à une bonne fessée, je préfère que ce soit elle qui me la donne, ça me changera ! Et puis, ce sera moins douloureux !"
Valérie ne dit rien et s'installa sur la chaise, elle attrapa Donna par le bras et l'obligea à se pencher sur ses genoux. Cette dernière portait une jupe et des mi-bas. Valérie releva sa jupe et découvrit une jolie culotte noire un peu transparente laissant apparaitre des fesses fermes et très bien faites. Elle commença à la fesser au travers de la culotte. Donna fut un peu surprise de la force des claques qui tombaient sur son postérieur. C'était peut-être pas une si bonne idée de se retrouver sur ses genoux. Elle allait se venger et ça pourrait bien faire plus mal que prévu. Cette sensation allait être confirmée lorsqu'elle sentit sa culotte descendre jusqu'à ses chevilles découvrant ses fesses nues et laissant entrevoir son intimité. Marc observait la scène très amusé. Décidément, Valérie était pleine de surprises, n'avait pas froid aux yeux, et il aimait ça. Désormais Valérie tapait fort sur les fesses de Donna, cette dernière gémissait et commençais à regretter de ne pas s'être excusée. Mais pas suffisamment encore pour la supplier. Valérie redoublait de force et Donna avait maintenant les fesses bien rouges. Elle n'en pouvait plus. "D'accord, stoooop ! Je vous demande de m'excuser pour vous avoir bousculée.
- C'est tout ? demanda Valérie, tout en continuant de la fesser.
- Aaaaïe ! Je vous demande pardon !
- Mais encore ?
- Je regrette de vous avoir tenue tête, je ne recommencerai plus, dit-elle au bord des larmes.
- Bien ! Comme quoi, une bonne fessée remet encore bien souvent les choses à leur place."
Toute la salle avait regardé le spectacle. Maintenant que tout était terminé, chacun revenait à son repas ou à ses discussions. Donna, libérée par Valérie se releva en se frottant les fesses. Eric la prit par le bras et la tourna face à lui :"Je te préviens, ce qu'elle t'a fait subir n'est rien à côté de ce qui t'attends à la maison !
- Oui, mon chéri, osa-t-elle seulement répondre.
- Monsieur, mademoiselle, j'espère que vous passerez une bonne soirée, malgré cet incident regrettable." Et ils s'installèrent à leur table, Donna avait bien du mal à s'asseoir.
Et effectivement, ils passèrent une bonne soirée, y compris à cause de cet incident. Ils rentrèrent tard au domaine familial et s'endormirent dans les bras l'un de l'autre. Ils annonceraient la bonne nouvelle pour les examens demain au reste de la famille...
A SUIVRE
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