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Les jeux innocents de Valérie ( 29 )


La rentrée universitaire, débutera le quinze octobre. En attendant Valérie reprend ses activités, de surveillante générale. Le week-end suivant, la famille Vautier à prévu d'organiser une fête pour sa réussite. Bien entendu, les élèves de Marc, sont conviées du fait qu'elles habitent la demeure. Pendant que Sylvie organise les festivités, Marc reprend les cours avec ses quatre élèves. Quand il rentre dans la classe, les jeunes filles se tiennent debout à coté de leur chaise.

"Bonjour, Monsieur Ménager, dire les quatre jeunes filles, dans un ensemble parfait.

 - Bonjour Mesdemoiselles, vous pouvez vous assoir."

Victorine leva la main

"Oui ? lui dit le professeur,

- Nous voulions féliciter Mademoiselle Valérie pour son succès.

- C'est gentil, mais vous le ferez à midi après les cours, mais sachez, que pour en  arriver là, Mademoiselle Valérie à beaucoup travaillé et de la même façon que vous, elle à été très souvent corrigée, donc vous allez vous rendre compte que cette  méthode fonctionne très bien. Ceci étant dit, nous allons débuter les cours."

La matinée se passa sans évènement notable.  

La famille se réunit autour de la table, pour déjeuner sauf Coralie bien entendu qui prend ses repas, près de son travail, le midi.

Victorine prit la parole. "Mademoiselle Valérie, mes camarades et moi vous présentons nos félicitations pour la réussite à votre examen.

-Je vous remercie Mesdemoiselles, mais cela ne c'est pas fait facilement, il m'a fallut beaucoup de travail, pour en arriver à ce résultat.

- Et les fesses souvent rougies, intervient malicieusement Aline.

- Aline!!! la reprit Marc.

- Non Marc!! ne la gronde pas, répondit Valérie avec un petit sourire, elle à raison et tu es bien placé pour le savoir.

- Effectivement. répondit le professeur

- Je voulais vous dire, que nous préparons une fête ce week-end, pour fêter cet évènement." intervint Sylvie.

Le repas se passa dans la bonne humeur.

A 14 heures, les cours reprirent, par une leçon de mathématique. Après les avoir corrigées, Marc distribua les copies, non sans faire un commentaire à chacune des élèves.

"Lara, 14, c'est pas trop mal, mais tu restes toujours sur tes acquis, tu peux faire nettement mieux. Victorine, 15, c'est bien, mais si tu te concentrais un peu plus, tu aurais pu  avoir une meilleur note. Isabelle, 8 je sais que tu as de grosses lacunes, mais avec un peu plus d'attention tu aurais au moins eu la moyenne. Tu sais ce que cela signifie ? 

- Oui Monsieur Ménager, répondit-t'elle en baissant la tête.

- Aline, 17 bonne note, mais ta copie est un vrai torchon. Des ratures partout. je t'ai déjà dis que je n'accepterais pas une copie pareille. Donc toi aussi tu seras punie après les cours."

Mais cette dernière n'accepta pas les remarques de son professeur. La jeune fille commença à s'emporter.

"Mais heuuu... du moment que les résultats sont bons, on s'en fout des ratures. Vous n'êtes jamais satisfait, dit-elle en élevant le ton.

- Pardon ? De quel droit tu te permets de critiquer mes décisions, et d'élever la voix contre ton professeur.

- Non, mais c'est vrai, vous critiquez toujours, il n'y a jamais rien qui vous convienne. Vous nous punissez toujours pour le moindre détail, renchérit l'étudiante qui montait dans les tours.

- Je ne tolère en aucun cas une telle attitude. Vas te calmer 10 minutes dans le parc.

- Maiiiiiis!!!!!!

- Aline, je ne veux rien entendre !" ordonna Marc.

Le professeur s'approcha de la porte et l'ouvrit.

Aline comprit qu'il n'était pas dans son intérêt d'insister, et préféra suivre les injonctions de son professeur. 

Les trois autres jeunes filles qui ne connaissait pas leur professeur sous cet angle, furent inquiètes de le voir autant en rogne, surtout Isabelle qui devait être punie, et craignait grandement ce moment.

Cela faisait dix minutes qu'elle était sortie quand Aline frappa à la porte.

"Entrez dit Marc, la jeune fille rentra, et se dirigea directement vers sa place.

- Aline, tu n'as rien a dire ?

- Ben heuuuu!!!! non !!

- Tu ne penses pas que tu as des excuses à me faire, pour avoir élevée la voix sur moi ?

- Ben oui si vous voulez. Excusez-moi.

- Aline! Il va falloir que tu apprennes la politesse, ou bien c'est moi qui vais te l'apprendre, mais je ne pense pas que ma méthode te plaise, dit Marc avec un calme qu'il était loin de ressentir. Va te mettre au coin.

- Mais Monsieur, j'ai 18 ans, à mon âge on ne fait pas ce genre de chose.

- Parce qu'à ton âge, on élève la voix sur son professeur ?

- Ben non, Monsieur !

- Alors fait ce que je te dis et arrêtes de discuter la moindre de mes décisions et tu en profiteras pour réfléchir à ton attitude.

- Non je n'irai pas.

- pour la dernière fois, Aline va au coin !!!

- Non Monsieur." Le défia-t-elle

Marc qui n'avais pas l'habitude qu'on lui tienne tête, se dirigea, vers la jeune fille, qui commençait à comprendre qu'elle avait été trop loin, mais bien trop fière pour faire marche arrière.  Il l'attrapa par le bras, et l’emmena vers une chaise qui se trouvait devant son bureau. Il ordonne à la jeune fille, de dégrafer sa jupe.

"Non Monsieur, je ne veux pas le faire.

- Aline, pour la dernière fois, retire ta jupe, si je dois le faire, tu ne vas pas du tout aimer la suite.

- Non, Monsieur." Persista-t-elle.

Le professeur n’insista pas. Sans rien dire, il attrapa la jeune fille, lui défit sa jupe qui tomba au sol, baissa la culotte blanche en coton. Il la  pencha sur ses genoux, et sans préambule commença à lui claquer les fesses à un rythme soutenu, et une intensité qui surpris la jeune fille. Après  trois minutes de fessée, Marc releva la jeune fille, qui retenait ses larmes. 

"Dis-toi bien, que je n'en ai pas fini avec toi pour aujourd'hui, ce que tu viens de prendre c'est uniquement pour ton insolence. Ensuite nous discuterons de ta copie. Maintenant tu vas au coin, ou as-tu besoin d'aide?

- Non j'y vais de moi-même."

 Quand la jeune fille voulu se rhabiller, marc le lui interdit.

"Isabelle, à ton avis, as-tu fait suffisamment d'effort ?

- Non je ne crois pas, Monsieur, dit-elle en baissant la tête

- Penses tu mériter une punition et regarde moi quand je te parle, c'est la moindres des politesses

- Je..Je.. Je ne sais pas Monsieur, toujours en baissant la tête.

- Isabelle lorsque l'on s'adresse à quelqu'un on le regarde, t'ai je déjà dit, donc tu ne sais pas si tu mérites une punition ? Viens devant moi."

La jeune fille obéit, Marc lui demanda de dégrafer sa jupe et de baisser sa culotte  ce qu'elle fit, sans discuter, celle-ci tomba sur ses chevilles, il la pencha sur ses genoux et commença à claquer les fesses d'Isabelle, le rythme était régulier, sans pour autant être vraiment fortes. L'intensité augmentait, Isabelle se mit a pleurer, à chaude larmes. Après trois minutes, Marc arrêta, et la laissa se calmer, l'aida à se relever et lui dit d'aller, au coin, ce que fit immédiatement la jeune fille.

"Aline, comme je te l'ai dit je n'en ai pas fini avec toi. Viens ici s'il te plait." Elle voulut récupérer ses vêtements pour se rhabiller, mais Marc l'en empêcha. 

"Je viens de te dire que je n'en avais pas fini avec toi.

- Mais Monsieur vous n'allez pas m'en donner encore une ?

- Bien sur que si, et tu le sais très bien.

- Mais Monsieur, vous m'avez déjà punie, 

- Pour ton insolence, et ton impolitesse, mais pas pour le " torchon " que tu appelles un devoir.

- Mais Monsieur les réponses étaient bonnes, et pour le soin apporté à mon travail, je ferais un effort.

- Je te le confirme, je suis sûr qu'après ta punition, tu vas faire très attention.

- Mais...!!! tentât la jeune fille.

- Arrêtes de discuter dans le vide, ou peut-être que tu en veux une supplémentaire ?

- Non, Monsieur, s’inquiéta Aline

- Donc arrêtes de discuter." S'impatientait Marc.

Il la tira par le bras, et l’allongea d'autorité sur ses genoux, malgré ses protestations. Il commença à lui donner des claques sur ses fesses pendant deux minutes. Mais après la première fessée assez sévère, celle-ci est très douloureuse, Aline à beaucoup de mal à supporter, et tenta de bouger et de mettre sa main, comme illusoire protection pour essayer d’échapper à la main qui tombait sans discontinuer. 

"Stop Monsieur, arrêtez, je vous en prie, j'ai trop mal, j'ai compris, je ferais plus attention, dorénavant."  Quand Marc cessa, Aline avait très mal et ses fesses étaient devenues d'un beau rouge uni. Il l'aida à se relever, et l'autorisa à se rhabiller, se qu'elle fit très rapidement.

"Maintenant, Mesdemoiselles la journée est finie, vous pouvez quitter la classe."

Les jeunes filles ne se firent pas prier, surtout Aline, qui sortit la première encore toute honteuse d'avoir reçue non pas une, mais deux fessées bien douloureuses.

 

A  SUIVRE

 

 

 

 

 

    

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                         

 


 

 

 

 


  

    

     



 

  

 

   

 

 

 

 

 

  

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