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Les jeux innocents de Valerie ( 30 )

Aujourd’hui, c'est le jour de la fête organisée, par Sylvie. Après le petit déjeuner toute la famille se réunit pour préparer cette journée en l'honneur de Valérie. Ces amis furent invités pour le repas de midi et participer aux festivités de l'après-midi. Pendant la fête Valérie but bien plus que de raison. Quand Marc s'en aperçut il s’approcha, de la jeune femme et discrètement, lui glissa à l'oreille qu'il valait mieux pour ses fesses, qu'elle s'arrête de boire. Et bien sûr elle n'en tint aucun compte et elle continua à boire. Il était évident, que le professeur ne pouvait tolérer une telle chose, car elle était totalement ivre.  Dans ces conditions, inutile de la punir pour l'instant. Marc l’emmena dans sa chambre l'aida à se déshabiller et à se coucher. Il réglerai tout ça demain, quand elle se réveillerai. Il redescendit au salon où la fête battait son plein et là, il se rendit compte que ses élèves n'avaient pas respectées les consignes, Aline et Lara  avaient beaucoup trop bu, elles aussi. Le précepteur était fâché. Il attrapa les deux coupables, par le bras et les emmena dans leur chambre, les fit s'allonger sur leur lit, les déchaussa et tira une couverture sur elles. Les comptes se régleraient le lendemain, pour elles aussi. Paul qui avait remarqué ce qui se passait, laissa Marc gérer la situation. En fin d'après-midi les amis de Valérie prirent congés, il ne restait que les deux élèves, Gérard, Coralie, Paul, Sylvie et Marc, et tous commencèrent à débarrasser les restes de la fête, qui s'était, somme toute fort bien déroulée.

Après ce rangement la famille et les élèves, se réunirent au salon, pour converser tranquillement, devant un jus de fruits. Paul demanda :

 - Comment se passent vos cours, mesdemoiselles ?

- Bien Monsieur, mais Monsieur Ménager est très sévère comme professeur, répondit Isabelle.

- Si vous êtes ici c'est que vous aviez besoin que l'on vous reprenne en mains de façon sérieuse. Alors oui, Monsieur Ménager est sévère, mais pour avoir de bons résultats, vos examens et une bonne situation, il faut en passer par la sévérité. Qu'en pensez-vous mesdemoiselles.

- Ben! oui Monsieur, mais quand même, les fessées, à notre âge, et devant les autres. Quelle honte, se faire déculotter, et recevoir la fessée, devant d'autres personnes c'est très dur. 

- Vous travaillez bien, vous donnez le meilleur de vous même et vous êtes récompensées, dans le cas contraire, les punitions tombent. Cela semble juste, non ?

- Certes, monsieur, ce que nous voulons dire, c'est que c'est vraiment difficile d'être tout le temps au top.

- C'est vrai, Isabelle. Mais nous vivons dans une société de performance où on demande toujours plus. Notre but est de vous préparer à subir cette pression permanente tout en vous inculquant des valeurs d'amour et de respect."

Les conversations, continuaient jusqu'à ce qu'on leur servent une légère collation, mais l'heure du couvre feu approchant, les deux élèves durent aller se préparer pour la nuit.

A vingt-deux heures, la demeure retrouva son calme nocturne, demain était un autre jour...

Lundi matin le réveil fut compliqué pour les trois filles, elles ressentaient un énorme poids sur la tête. 

Marc commença par aller voir Valérie :"Bonjour, ma puce. Dépêche-toi de te lever, de te prendre une bonne douche, de t'habiller et de déjeuner. On réglera nos comptes après !"

Cette dernière phrase fit descendre un frisson dans le dos de la jeune femme et une boule au ventre commençait à se faire sentir.

Marc partit voir ses deux élèves : "Aline et Lara, vous vous levez, vous prenez une douche et vous vous habillez, sauf le bas où vous ne porterez que vous chaussettes et souliers, pas de culotte, pas de jupe ! Vous resterez ainsi pour la journée ! Les deux autres, tenues normales. Bougez-vous !"

La journée s'avérait très compliquée pour les deux fautives ! Ça commençait très mal et elles savaient que cela n'allait pas s'arranger. Elles regrettaient déjà d'avoir désobéi la veille. Elles savaient qu'elles allaient s'en souvenir très longtemps. Ne voulant pas aggraver leur cas , elles s'exécutèrent sans râler. Elles partirent déjeuner et commencèrent déjà à ressentir la honte d'être dans cette tenue et de devoir passer la journée ainsi.

Pendant ce temps Valérie s'était habillé et les cours ne commençaient que dans une heure. Elle avait fini ses études et n'était plus tenue à aucune obligation. Théoriquement, elle était en vacances. Marc monta la voir dans sa chambre, il prit bien soin de refermer la porte derrière lui.

"Tu sais de quoi nous allons parler, Valérie ?

- Euh pas exactement, non, répondit-elle.

- Tu n'aurais pas juste un peu trop bu, hier soir ?

- Ben c'était ma fête, après tout. J'ai pensé que j'avais le droit de me lâcher un peu.

- Certes, ma chérie, mais pas à ce point là !

- Comment ça ?

- Tu ne te rappelles pas ? Tu as vraiment abusé, il a fallu que je te porte dans ton lit, que je te déshabille, que je nettoie le vomi que tu avais sur toi et dans tes cheveux. 

- Je ne me souviens plus du tout, je suis désolée, mon amour, ça ne se reproduira plus !

- Ça, je ne te le fais pas dire, pas après la fessée que tu vas recevoir !

- Nooon, s'il te plaît, je suis vraiment désolée.

- Mais je n'en doute pas, ma chérie. Je ne suis pas en colère contre toi, mais contre ce que tu as fait, et tu dois te souvenir une fois pour toute que tu ne dois jamais, jamais recommencer.

- S'il te plaît, mon amour !"

Mais Marc n'avait cure des suppliques de Valérie. Il avait bien l'intention de donner à la jeune femme ce qu'elle méritait. Il l'attrapa par le bras , l'allongea sur ses genoux et la déculotta sans ménagement. La fessée commença sans attendre avec rapidité et intensité. Valérie ne se souvenait pas d'en avoir pris une comme ça. Elle pleura presque immédiatement tant c'était intense, insupportable. Elle se débattait, bougeait bras et jambes pour tenter d'éviter les claques, mais c'était peine perdue. Et cela durait, pas de pause, elle n'en pouvait plus. C'était tout simplement interminable. Elle était épuisée, mais Marc continuait encore et encore. Ce type était infatigable. Elle commençait à comprendre la crainte de sa sœur. Elle lui avait bien précisé :"Ne l'énerve pas par des actes inconsidérés, j'ai goûté une fois, j'ai stoppé net !" Elle comprenait maintenant ce que Coralie voulait dire.

Marc s'arrêta enfin, Valérie était prise de spasmes incontrôlables. Et elle n'arrivait pas à se calmer. Marc la prit dans ses bras, elle n'attendait que ça, le moment du pardon.

"Tu ne me fais plus jamais ça, lui dit-il.

- Je...je t ..te le pro....promet." sanglota-t-elle entre deux spasmes.

Marc ne doutais pas de cette promesse, pas après la fessée mémorable qu'elle venait de recevoir...  Maintenant elle allait descendre pour saluer ses parents qui étaient en train de petit déjeuner, elle l'avait pris plus tôt.

" Bonjour papa,  bonjour maman dit-elle en leur faisant la bise.

- Assieds toi ma chérie, et prends ton petit déjeuner tranquillement, lui dit Paul.

- Non merci papa je l'ai déjà pris, ce matin répondit Valérie, tout en restant debout, cachant comme elle pouvait ses difficultés à s'asseoir.

- Approche-toi ma chérie."

Valérie s'approcha, et Paul , par suprise lui baissa le pantalon et la culotte. Il put constater les fesses très rouges de sa fille. Il la rhabilla.

"Tu veux m'expliquer ? S'enquit le père de famille.

- Ben, apparemment, j'ai beaucoup abusé, hier.

- Abusé de quoi, ma fille ?

- Ben, d'alcool, tiens ! Si c'était de chocolat, je n'aurais pas les fesses rouges !

- Et tu crois que ce n'était pas mérité ?

- Si, papa, répondit-elle penaude.

- Bien. Penses-tu qu'il soit nécessaire que j'appuie cette punition ?

- Oh non, papa, s'il te plaît...dit-elle avec une pointe d'affolement.

- Bien, je conseille fort d'éviter que ça se reproduise à l'avenir, alors !

- Oui , papa !" Celle-ci remonta dans sa chambre, s'allongea sur son lit et se mit à pleurer. Elle savait qu'elle avait foiré, qu'elle avait déçu son homme et elle s'en voulait encore. Mais son père n'avait pas à intervenir. C'était une affaire entre elle et Marc.

Mais le pauvre Marc avait d'autres chats à fouetter ou plutôt d'autres filles à s'occuper.

Il rentra dans la classe, les quatre filles se levèrent. Évidemment, deux d'entre-elles  était sans jupe et sans culotte, ce qui faisait deux clans dans la classe.

"Victorine et Isabelle, vous pouvez vous asseoir, Lara et Aline vous restez debout pour le moment. Marc fit une pause, puis reprit. Venez devant la classe, mesdemoiselles. Allez, approchez-vous !"

Celle-ci obéirent et vinrent à proximité du tableau. Elles ne savaient pas ce qui allait se passer, elles espéraient juste faire les frais d'un bon sermon, vue qu'elles étaient déjà bien humiliées. Mais le professeur ne l'entendait pas de cette façon. Il posa une chaise devant son bureau mais resta debout à sa droite les deux filles étaient à gauche de ladite chaise. 

"Si vous vous demandez pourquoi Aline et Lara sont dans cette tenue particulière, c'est tout simplement la conséquence de leur désobéissance. Vous vous rappelez sans doute de la consigne principale que j'avais donné avant la petite fête, pouvez vous me l'énoncer ?

- Ne pas abuser de l'alcool." répondit fièrement Isabelle. Marc, en faisant son laïus, s'était placé derrière Lara et Aline. Deux claques monstrueuse tomba sur chacune des fesses des deux filles. Leur intensité fit instantanément monter les larmes aux yeux des filles.

"Bien répondu , Isabelle, continua le professeur. Et qu'avais-je dit, en cas de non respect de cette directive ?

- Que la punition pourrait être particulièrement désagréable, je m'en souviens parfaitement, Monsieur, car je m'imaginais déjà me retrouver sur vos genoux, répondit Victorine. Et je n'en avais pas vraiment envie."

Deux claques aussi forte que les précédentes tombèrent à nouveau sur les fesses de Lara et d'Aline. Cette fois, Isabelle et Victorine pouvait voir les larmes couler des yeux des deux punies.

"C'est exact mesdemoiselles. Et voilà pourquoi Lara et Aline se retrouve dans cette situation que j'ose imaginer très humiliante. Et il va falloir maintenant qu'elles assument leur actes, maintenant, et voici comment, il se tourne et regarde Aline et Lara. A chaque début de cours de la journée, vous recevrez une fessée ce qui veut dire quatre fessées pour la journée. De plus comme votre comportement a affecté la petite fête d'hier soir, Monsieur Paul ou Madame Sylvie voire les deux vous administreront une fessée avant d'aller vous coucher."

Là c'était trop ! Cinq fessées dans la journée c'était beaucoup trop et en plus si Monsieur Paul s'en mêlait, ça allait être horrible. Mais Aline n'eut pas le temps d'y penser plus. Le professeur l'avait attrapé par le bras, l'avait penchée sur ses genoux, sans que la jeune fille ne puisse avoir même le temps de réagir. A peine installée dans cette position humiliante, les claques se mirent à tomber sur ses fesses nues. Le résultat ne se fit pas attendre, Aline gémissait et pleurait toutes les larmes de son corps. Dans cette position, les élèves assises voyaient sont intimité qui dégoulinait par réflexe. La fessée ne fut pas très longue, juste deux minutes mais cela parut une éternité pour Aline. Marc l'aida à se relever et lui ordonna de s'asseoir à son bureau. S'asseoir. Ça allait être compliqué après la fessée qu'elle avait reçue. Elle le fit tant bien que mal, mais ça brûlait. Encore quatre se disait-elle. Elle se jura de ne plus abuser de l'alcool, à l'avenir.

La pauvre Lara, à qui c'était le tour de prendre sa fessée, ne réagit pas différemment d'Aline. C'était même pire pur elle. Elle suppliait son professeur d'arrêter mais celui-ci ne stoppa qu'au bout des deux minutes. Elle aussi se jura d'éviter à tout prix de se retrouver dans cette situation à nouveau.

Le cours put commencer enfin. On n'entendait pas une mouche voler dans la classe. L'atmosphère était studieuse, Marc savait faire en sorte que ses élèves travaillent.

La fin du cours arrivait, c'était la pause inter-cours. Encore un moment d'humiliation supplémentaire pour les deux filles fesses nues et encore rouges. Aline, plus libérée sexuellement s'en moquait un peu et sortit avec Isabelle et Victorine. Lara choisit de rester dans la classe, voulant se montrer le moins possible. Les trois autres filles sortirent un moment dans le parc devant la demeure.

"Vous vous êtes foutu dans un sacré merdier, toi et Lara, quand même ! Dit Isabelle en s'adressant à Aline.

- Non sans blague ! Répondit-elle en se massant les fesses. Et c'est pas fini. Jamais je vais arriver à supporter ça ! Cinq fessées, c'est impossible si elles sont du même acabit que la première !

- C'est trop, je vais aller voir monsieur Ménager et essayer de négocier.

- Tu ferais ça ? Tu n'as pas peur qu'il t'en collé une pour avoir osé contester une punition ?

- Je suis prête à prendre le risque. Ok, vous avez abusé, mais là c'est carrément trop.

- eh ben, je te trouve bien téméraire !

- J'y vais et je reviens, avec les fesses rouges...ou pas."

Et Isabelle partit à la recherche de Marc qu'elle trouva au salon en train de se reposer.

"Monsieur ? Puis-je vous parler, s'il vous plaît ?

- Bien sûr, entre, de quoi s'agit-il ?

- Eh euh, eh bien voilà, je reconnais que Lara et Aline ont déconné hier, je ne le nie pas et elle mérite ce qui leur arrive. Mais si vous me permettez, je trouve que cinq fessées, c'est vraiment trop, vous allez nous les traumatiser.

- Hum. Aurais-tu une proposition à me faire ?

- Euh, et bien, ce n'est pas à moi de décider, Monsieur. Je ne me suis jamais retrouvé dans une telle position.

- Ce n'est pas facile, hein, de décider d'une punition pour une faute, pas vrai ?

- Oui, Monsieur.

- Ok, alors voici ce que nous allons faire. Je vais poser le problème en classe tout à l'heure et vous devrez, vous toutes, Lara et Aline comprise, décider de la meilleure punition à leur donner. La seule chose sur laquelle je ne reviendrai pas, c'est sur la fessée qui sera donnée par monsieur Paul ce soir, est-ce clair ?

- Oui, monsieur.

- D'autre part, je t'interdis de dévoiler cette conversation aux autres avant que je n'en parle moi-même en classe, sinon, tu te retrouveras sur mes genoux. On est d'accord ?

- Parfaitement, Monsieur.

- Ok, file, maintenant et pas un mot !"

Isabelle ressortit dehors.

"Alors, demanda Aline.

- Je ne peux rien dire, on a discuté, mais j'ai pas le droit d'en parler. Mais je n'ai pas pris de fessée. C'est déjà ça.

- Oh ben merde alors ! Bon donc je vais encore avoir un peu plus mal aux fesses. Je vais encore pleurer toutes les larmes de mon corps."

Isabelle prit Aline qui commençait à pleurer dans ses bras pour la consoler. Elle ne pouvait rien dire avant le début du prochain cours.

 A Suivre....

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